Grande pudeur de l’équipe municipale : il aura fallu attendre le dernier Conseil municipal pour apprendre officiellement que la préemption par la ville du 90 rue des Rosiers avait été rejetée par le Tribunal administratif. Ledit terrain, estimé à 500 000 € par les Domaines,[1] avait été préempté pour 1 million d’€ et sans projet défini par la nouvelle Majorité… Lire la suite...
Un pain dans la préemption (avec questions)*
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