Ah que je m’aime trop…

Le virus de la présidentialisation du pouvoir municipal se transmet à Saint-Ouen d’un Maire à l’autre. Avec toutefois des variants tout aussi préoccupants pour les habitants et la démocratie. Le journal de la ville, entre communication tapageuse et propagande outrancière, demeure hélas un bon baromètre de cette situation.… Lire la suite...