Descente en enfer pour les six derniers salariés en grève et la cinquantaine d’occupants de la tour infernale qu’est devenue le Foyer de jeunes travailleurs, en complète déshérence, à l’angle des rues Adrien Meslier et Albert Dhalenne. Une structure para municipale « gérée » par l’association CARA[1] présidée depuis toujours par le Maire de la ville[2].… Lire la suite...
CARA en perdition
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