Les apprentis sorciers contre les Puces ?

Il y a un peu plus de 2 ans, le 25 janvier 2010, un incendie meurtrier ravageait un logement du 17-19 rue Jules Vallès. Une jeune femme et son enfant de 4 ans périssaient dans ce sinistre. Bien connu des pouvoirs publics, des associations (comme le DAL), des riverains (commerçants ou habitants), l’immeuble  était en effet, depuis des années, non entretenu sur-occupé, très dégradé et dans les mains d’un propriétaire indélicat. Ce drame devait donc contribuer à mobiliser toutes les énergies pour trouver une solution opérationnelle et durable sur le plan humain et social.

Tardivement, au vu de la complexité du dossier, le Conseil municipal de Saint-Ouen s’est prononcé finalement en décembre 2011[1] pour une solution d’expropriation du marchand de sommeil avec une opération de restructuration – réhabilitation de l’immeuble 17-19 rue Jules Vallès. Hélas, il semble que le Maire ait opté, dans une certaine opacité[2], pour un projet en apparence très consensuel mais en réalité bien plus large et qui se construit contre les Puces. Il suscite dès lors de très vives et légitimes réactions. La tentation est grande pour une partie de la majorité municipale de politiser artificiellement ce dossier en vouant aux gémonies ceux qui le critiquent.

 

Drogue, prostitution, misère, deux morts dramatiques, tout le monde : riverains,  habitants et commerçants du quartier en passant par le DAL et même par les plus hostiles au logement social ; tout le monde accueillait donc à priori très favorablement cette intervention publique pilotée par la ville là où aucun opérateur privé ne pouvait prendre la main pour faire cesser une situation inacceptable.

Après tant d’années à voir progressivement la situation se dégrader, la perspective de transformer les 85 studios existants complètement surpeuplés et dangereux en une trentaine de logements sociaux (aux normes) avec une occupation maîtrisée donnait logiquement satisfaction à tous les acteurs de ce quartier des Puces.

 

Là où le bât blesse, c’est que le projet initial déborde largement de son assiette foncière pour s’adjoindre deux autres opérations immobilières distinctes, floues et fort contestables (l’une au 11-13, l’autre au 27-27 bis). Ainsi ce sont près de 40 logements neufs complémentaires (locatifs et accession) qui sont projetés sur deux petites parcelles (non mitoyennes de l’immeuble à restructurer). Pour l’occasion on bétonne un axe d’accès stratégique au cœur des Puces, on supprime un parking dédié aux commerçants, on inscrit l’un d’eux dans un périmètre de DUP (expropriation)… Pour rallumer la « guerre des Puces » on ne s’y prendrait pas mieux.

Quant à la cohérence réelle de l’opération d’ensemble elle semble se résumer à construire coûte que coûte dans les Puces[3] sans s’interroger outre mesure sur les dysfonctionnements existants et non réglés (accès, circulation, parking, sécurité, propreté…)[4]. En effet, si le quartier des Puces, doit être également habité pour ne pas être un complet un no man’s land la semaine, sa dominante commerciale doit impérativement être respectée et intégrée. Sauf bien évidemment si l’on souhaite accompagner voire accélérer le déclin de ces activités.

L’insertion de logements neufs dans ce tissu urbain très particulier des Puces mérite une grande attention pour éviter les conflits d’usages entre habitants, commerçants et visiteurs. La question de la circulation et du stationnement est évidemment beaucoup plus complexe qu’ailleurs et doit être traitée comme telle. L’importance des flux de visiteurs chaque week-end et l’ occupation du domaine public par le déballage constituent des éléments très spécifiques.

Au-delà de l’urgence sociale et sanitaire de restructurer un immeuble existant au 17-19 rue Jules Vallès, on ne voit donc pas très bien l’intérêt de « boudiner » une quarantaine de logements neufs au total sur les deux autres parcelles complètement coincées dans l’activité des Puces[5]. Ces quelques logements supplémentaires créeront sans doute beaucoup plus de problèmes qu’ils n’en règleront avec une multiplication des conflits d’usages entre habitants et commerçants.

Politiser à outrance ce dossier en laissant entendre que s’opposer au projet sous sa forme actuel revient à empêcher la résorption de l’habitat indigne au 17-19 rue Jules Vallès, c’est de la pure démagogie. Ce n’est ni très sain, ni très respectueux des acteurs des Puces et au-delà de l’ensemble des citoyens du quartier et de la ville.

Enfin, et c’est peut-être le plus grave à long terme, la construction de logements neufs sur la parcelle du 11-13 rue Jules Vallès (dite le « jardin éphémère »[6]) ferme physiquement et rend quasi impossible de réaliser un axe majeur avec un accès aux Puces par la Porte Montmartre pour créer une alternative  à l’accès très problématique par la Porte de Clignancourt[7]. Il ferme l’ouverture du marché Jules Vallès sur ce mail et nuit à une bonne articulation avec le petit pôle de restauration à proximité. C’est donc du devenir même des Puces dont il s’agit ici.

Pour mémoire, rappelons que la porte Montmartre fait actuellement l’objet, avec des nouvelles constructions et de nouveaux aménagements (piste cyclables, terminal bus), d’une véritable reconquête urbaine par la Ville de Paris avec une desserte en transports en commun renforcée d’ici quelques années par l’arrivée du tramway.

Il convient également d’indiquer que la ville de Saint-Ouen a elle-même piloté (et financé !), il y a peu, une étude de prospective sur les Puces en partenariat avec de nombreux institutionnels (Paris, Chambre de Commerce, Département, Région…) et s’appuyant sur une enquête auprès des professionnels du secteur. Dans cette étude, l’importance de la liaison entre la Porte Montmartre et la rue des Rosiers (via l’allée n° 6 du Marché Paul Bert) et le Jardin éphémère était clairement pointée pour le développement des Puces (mais aussi pour relier deux quartiers).


Dans ce contexte, il faut donc trouver une solution équilibrée qui ne sacrifie pas l’avenir à l’urgence immédiate ou à des ajustements financiers marginaux. Il est nécessaire de donner une information complète aux Conseillers municipaux sur tous les enjeux du secteur en prenant en compte tous les acteurs. Il est indispensable d’informer et de concerter réellement en amont les professionnels de ce secteur et notamment leurs représentants associatifs (MAP) qui commencent à s’agacer.

Petit dossier à l’échelle de la ville, mais l’enfer est souvent dans les détails. Si le Maire et l’élu à urbanisme, qui ont déjà beaucoup manœuvré sur ce dossier et peu convaincu leur propre majorité, s’obstinent sans écouter quiconque, ils peuvent être assurés de trouver en face d’eux des gens tout aussi sectaires qu’eux [8] . Calcul hasardeux.

Un passage en force handicaperait de possibles aménagements ultérieurs des Puces et priveraient durablement la ville de partenaires professionnels responsables et constructifs dans ce haut lieu touristique. Ce n’est ni l’intérêt des Puces ni de Saint-Ouen.

 

Eric PEREIRA-SILVA  [9]

 

 


[1] après une première délibération en mai 2011 mal fagotée et recalée en décembre par le groupe PS, celui-ci sous la pression du groupe communiste (instrumentalisant pour l’occasion le DAL) votera finalement en obtenant quelques ajustements de détails. A l’exception notoire de Dominique Garcia-Durocher (PS) élue au tourisme et donc particulièrement attentive au devenir des Puces.

[2] absence complète d’information préalable des partenaires, rapport de présentation très elliptique sur le montage juridique et financier ou sur le contexte urbain et commercial du quartier. Absence de parkings dans les projets de nouvelles constructions…

[3] et/ou, plus simplement, avec des programmes annexes (sur des terrains appartenant déjà à la ville) à financer pour partie la restructuration de l’immeuble du 15-17 Jules Vallès.

[4] Il est ainsi très étonnant que les plans fournis aux conseillers municipaux et illustrant le « projet d’ensemble » ignorent superbement l’environnement immédiat rue Jules Vallès avec un cadrage étroit et une vision statique : pas de représentation des secteurs piétonniers et des flux, pas de plan de circulation automobile, pas de stationnement, pas de représentation significative des fonctions commerciales autour (marchés, déballages…).

[5] Evidemment, les mêmes emprises foncières ailleurs dans la ville seraient de bonnes opportunités pour de petits programmes de logements organisés de cette façon. S’abstraire ici complètement du contexte est incohérent.

[6] Qui n’a de « jardin » que le nom (c’est en réalité un « passage »). Et dont on comprend mieux aujourd’hui pourquoi l’ancien élu à l’urbanisme, Michel Bentolila, par ailleurs très proche du Maire refusait il y a plusieurs années l’aménagement définitif en mail urbain structuré.

[7] Ce n’est certainement pas un petit passage en « baïonnette » coincé entre des habitations et un mur aveugle qui pourra accueillir un flux important de visiteurs depuis la Porte Montmartre et permettre d’accéder directement au cœur des Puces.

[8] d’ores et déjà certains, qui ne voit pas le début d’une concertation réelle, ont opté pour des recours juridiques contre ce projet d’ensemble.

[9] Ancien Maire-Adjoint de Saint-Ouen au Développement économique, au commerce, à l’artisanat et aux marchés, Urbaniste de formation, Membre de l’association Marché aux Puces (MAP).

 

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33 réflexions sur « Les apprentis sorciers contre les Puces ? »

  1. La récupération par la puissance publique (la collectivité) d’un objet de spéculation immobilière et financière au mépris des vies humaines a été une bonne chose et est à mettre au crédit de toutes les personnes qui y ont concouru. Je pense d’abord au DAL puis à la CNL.

    Autre chose est la montée en puissance des promoteurs au détriment d’un quartier du Marché aux Puces, de sa vraie vie, du patrimoine mondial qu’il représente.

    Pire, alors que le passage Ephèmère avait trouvé sa place et prouvé son utilité, figurant ainsi un des vieux projets d’emménagement (la jonction Rosiers/Porte Monmartre), les appétits spéculatifs l’ont emporté sur la raison.

    C’est donc un remplissage forcé d’un des rares lieu de respiration et de communication qui a été décidé par les élus.

    C’est donc la disparition d’un parking avec des toilettes accessibles et de qualité qui est programmée.

    Disons le sans détour, la gestion d’une ville n’est pas de bâtir pour les promoteurs mais d’aménager pour toutes les activités et les personnes.

    L’ouverture des sous-sols de Cap Saint-Ouen ne permettra pas de garer les véhicules de moyenne et grande hauteur alors que le parking actuel le permettait.

    Pire, ces projets immobiliers ne serviront pas à reloger les audoniens.

    Il y a bien d’autres projets à finir notamment l’opération Dain/Rosiers.

    Idem pour l’emprise rue des Rosiers recevant les locaux d’un association bénéficiant des largesses (légales) de nombreuses entreprises et promoteurs.

    Que les élus se soucient des locataires des Boute en train, comme par exemple la sécurité avec les dépenses provoquées par l’incivilité et les trafics.

    L’OPHLM vient d’informer les locataires du coût de remplacement des bornes escamotables à l’entrée de la cité (plusieurs dizaines de milliers d’euros).

    Croire aveuglement aux beaux discours, c’est oublier la surprenante extension du ferrailleur Mazeau, l’étonnant destin des terrains Wonder qui ont “échappé” à la ville mais “bénéficié” à des foncières, et qui se trouvent plus que jamais au coeur d’un vaste projet immobilier concocté par quelques uns, et dont les conséquences seraient la disparition du stade Bauer, et d’un nouveau bétonnage.

    C’est aussi, sur un sujet “mitoyen” les rapports bizarres et opaques avec la ville de Paris, sur le territoire de laquelle, le nettoiement municipal de saint-ouen intervient au niveau du carré des biffins. Quelle convention régit cet échange à sens unique ?

    Intérêt commun , Alors, n’existe il pas un autre lieu d’accès sur Paris (passant sous le périphérique) en haut de la rue Vallés qui pourrait être réévalué?

    Il convient donc à la municipalité de ne pas passer en force un projet à deux faces qui tourne le dos à la ville populaire que saint-ouen doit rester.

    Mais là, il faudrait une toute autre capacité à la démocratie participative.

  2. A Taquet post 1

    “C’est donc un remplissage forcé d’un des rares lieu de respiration et de communication qui a été décidé par les élus.”

    Quels élus ?
    Quand, où, comment ?

    “Mais là, il faudrait une toute autre capacité à la démocratie participative.”

    Elle existe ?
    Où ?
    Si oui, quelles capacités (justement) ?

  3. Comment gratter les “puces” par petits sauts ??

    Le site de la ville nous aide timidement à répondre à cette question puisque visiblement après la zone Jules Vallès, c’est maintenant au tour de celle de la rue Biron de venir s’ajouter à la liste des lots gagnants du jeu de grattage pour la super promo du millionnaire.

    Sinon pour tous les petits joueurs, apprenez qu’il existe aussi des journées portes ouvertes organisées par la ville en guise de lot de consolation. Oh Pardon ! “concertation”.

    http://www.ville-saintouen.fr/index.php?pge=14&IDDetail=2802

    “Avis d’enquête publique
    Une enquête parcellaire complémentaire en vue de l’acquisition par voie amiable ou par voie d’expropriation des lots dépendant de la copropriété sise 49 boulevard Biron, relative au programme de travaux de restauration immobilière de ladite copropriété est ouverte.

    Toutes personnes intéressées peuvent consulter les pièces du dossier du 2 mai au 22 mai inclus, au centre administratif et social (heures d’ouverture habituelles) en vue d’éventuelles observations.

    Ces dernières seront recueillies par le commissaire enquêteur, qui recevra le public mercredi 2 mai 2012 de 9h30 à 12h30, vendredi 11 mai 2012 de 9h30 à 12h30 et mardi 22 mai de 14h à 17h00.

    • on aimerait bien avoir l’avis de M. Giunta (élu au logement) sur les raisons exactes des constructions alentour qui n’ont pas le caractère d’urgence du 17 Vallès.

      et l’opinion du DAL qui a l’air de s’être bien fait manipuler contre le PS qui traînait les pieds.

  4. @pierre post 4
    C’est bien d’une manipulation qu’il s’agit.
    Le DAL ne fait pas de politique locale.
    Parrainage de certains sans papiers du 17, promesses de relogement et de réabilitation de l’immeuble…. voilà qui est bien nouveau chez nos élus audoniens majoritaires.
    Et tout ça effectivement pour pouvoir trouver des soutiens ( ou éviter des résistances), dans ce projet de m….. , encore une fois décidé sans concertations avec les riverains notamment, les puciers; Les habitants du 17 (que je connais pour bon nombre)ne sont pas dupes , mais sont dans une telle situation qu’ils sont prêts ( quasiment) à accepter tous ce qu’on leur propose ue qui aille dans le sens d’un relogement. Un , est à l’hotel à st-Denis avec ses enfants et vient tout les matins les conduire à l’école Jules Vallès! imaginez donc qu’il soit en mesure de finasser!….

  5. Merci pour ces précieuses informations.

    Quelle tristesse de vouloir construire le passage du jardin éphémère. Décidément, le mal logement et la densification ont bon dos pour bétonner ce passage alors que la moitié de la ville est en friche…

    Pour le bd biron, je suis moins négatif. Il s’agit d’un squat délabré servant de point de deal. Je ne me suis jamais aventuré dans son passage éphémère !

  6. Bonjour a tous,

    Mercredi 2 mai , nous avons eu une commission en Mairie sur les Puces . Etaient présents les associations du MAP , l’APPSO , l’Union Syndicale du Marché aux Puces de Saint Ouen ; le Maire était représenté par Monsieur Macédo élu en charge du commerce ; étaient aussi présent Monsieur Namura directeur général des services et son équipe .

    J’ai été surpris de voir l’ élu en charge du commerce se faire confisquer son mandat par le directeur général des services Monsieur Namura; il s’est imposé pour présider cette séance en bafouant toutes les règles de démocratie mais surtout de déontologie .

    Visiblement Monsieur Namura n’avait que faire des puces ! Ce qu’il est venu faire c’est attaquer Majdi Jeljeli et rien d’autre, il a bien rempli sa mission !!!!! Les sujets de la commission n’avaient vraiment pas l’air de l’interesser !

    Dans l’après midi , j’avais une 2eme commission celle-ci sur le marché Ottino . Notre syndicat est affilié à la fédération des marchés de France . Nous avons des adhérents sur ce marché et légalement nous devons assister à cette commission paritaire , comme cela se passe très normalement dans d’autres villes ( de droite et de gauche) .
    Afin que vous ayez une petite connaissance de la situation de ce marché . La totalité des commerçants non sédentaires à l’extérieur de la hall sont des sans droits . La ville refuse de leur accorder le droit de se défendre et de se faire représenter syndicalement ils sont exclus des commissions paritaires. Ils n’ont qu’un seul droit celui de payer le placier à la journée et rien d’autre.

    A peine je suis rentré en salle de réunion que le directeur du service économique Monsieur Nicolas Gueggou a confisqué la présidence de la commission à l’élu en charge du commerce pour demander à tout le monde de sortir si Majdi Jeljeli assiste à cette réunion. Je suis resté et la réunion n’a pas eu lieu. Motif évoqué “les commerçants non sédentaires de cette partie du marché Ottino ne sont pas habilités à se défendre et à se faire représenter “.

    Voilà la situation de la vie démocratique à Saint Ouen ou le droit cède la place à l’autoritarisme !!! Il n’ont peur de rien !!!

    • @ Monsieur Djedjeli

      Je sui un ancien commerçant, et j’ai vraiment l’impression que vous êtes un drôle de loustic.
      D’après se que des collègues de St-Ouen m’ont rapporté. L’ancien élu au commerce M. Perera et son service se sont bien pris la tête avec vous parqce que vous vous preniez pour le chef du marché michelet. Soutenant tout et son contraire, avec des propos souvent très limites en mettant la pression sur les placiers. D’ailleurs Perera excédé par vos calomnies à son égard avait porté plaint contre vous pour marquer le coup.
      il paraît que vous avez été élu comme représentants des commerçants de meichelet mais le problème c’est qu’on ne sait pas qui votent, ni comment vous fâites votre popote et sur quel programme.Il paraît aussi que vous agacez sérieusement les antiquaires et brocanteurs et maintenant vous voulez contrôler le marché Ottino !!! Bah vous avez du boulot.
      vous devriez unpeu vous calmer.
      au fait vous êtes toujours bra dessous bras dessus avec W. Delannoy ?

  7. @Robert Delarue

    Pourriez vous être plus précis sur ce que vous avancez, car c’est simple sur le net de raconter n’importe quoi ! Moi je suis disposé à étayer ce que j’avance ! Je ne réagis pas sur ce blog masqué, je ne m’invente pas une identité , ça ne sert à rien avec les adresses IP !!!!!

    Par ailleurs vous ne me connaissez pas ! Comment pouvez-vous me juger aussi catégoriquement ???

    Pourquoi cette animosité envers moi , serriez vous un concurrent ?

    Je discute avec tout le monde , des élus de gauche comme des élus de droite et je ne demande pas aux commerçants avants de boire un café avec eux de quel bord ils sont !

    Vous avez l’air de connaitre le commerce de notre ville ! Parlez nous un peu du statut des commerçants non sédentaires sur le marché Ottino !

    Alors rencontrons nous ! Par la suite vous pourrez porter un jugement sur moi !

  8. Robert Delarue : 8

    je pense monsieur que vous teniez une boutiique ou vous étiez dans le marché couvert
    pour vous “permettre” de traité Mr Djedjeli de loustic je me demand elaquel des 2 l est et ce n est pas a celui que je pense il ne se prendpas pour le CHEF il défend les droits ce qui est normal et vous étes sur de ce qu on dit de cette personne? avant d étaler ses calomnies RENSEIGNEZ VOUS c est trop facile la RUMEUR et en quoi ca vous regarde si il est bras dessous , bras dessus avec W.D elannoy ? c est quoi votre probléme ?

  9. Madji Jeljeli : 10

    bonjour mon grand ,

    tout d abord je suis trés contente de te connaitre
    ne répond même pasne le rencontre même pas car ce “monsieur” ne viendrais pas et c est un PROVOCATEUR et un FAUX C..comme toute les personnes qui se cachent sous de faux nom
    continue tranquille .tes idées et pour le reste tu les EMM…….
    bonne journée RDV autour d un café
    je t embrasse

  10. prenons le pari d’une rencontre entre Mr De larue et Mr Djedjeli ; et qu’ils reviennent chacun nous la narrer sur ce blog avec leur ressenti propre et leur appréciation l’un de l’autre!

  11. Plusieurs problèmes sont évoqués dans ce dossier, je vous avouerai que ma préoccupation se porte, en premier lieu, sur les personnes en attente de relogement!
    C’est LA priorité.

    Il y avait 85 studios, donc 85 résidents, au moins, avec pour certains, leurs familles en plus Et, il est prévu 40 logements sociaux réhabilités : les habitants seront ils tous relogés?

    Concernant, le débat jardin éphémère ou béton, selon que l’on ait une situation locative convenable ou pas, l’avis est différent : demandez à la maman (que j’ai rencontré hier)qui vit avec 3 gamins dans un f2 avec une seule chambre, si elle préfère un appart ou une aire de promenade pour ses gamins!

    Du béton, pour du logement social pour tous et en priorité pour les situations les plus difficiles : ok!
    Du béton pour de l’accesion à la propriété, j’y suis moins favorable. Il y en a trop eu de construits ces dernières années et ne sommes nous pas trop nombreux à so?

    Je pense que Majdi, de part son statut, est plus à même aujourd’hui, de défendre les intérêts des commerçants et des riverains sur ce dossier.

    Ces questions doivent être traitées en prenant en compte de l’avis des habitants, des puciers et des membres de l’opposition!

    On peut y croire car les présidentielles ont apporté un vent nouveau de démocratie participative avec les assemblées constituantes.

    La municipalité, pour continuer sur cette voie, doit proposer un comité de quartier avec tous ces acteurs .

    Continuer à discuter avec le peuple, en dehors des periodes electorales , pour parler de sujets aussi complexes afin que les décisions soient prises ensemble, n’est ce pas là l’objectif du fdg?

    • @ Saly
      Au vu de la Délibération du CM du 15/12/2011, attention les données sont un peu différentes de celles que vous évoquez :
      – Pour le 17-19 J. Vallès, Les 85 studios (hyper surpeuplés) seront restructurer pour devenir « une trentaine de logements sociaux de plus grande taille » et non pas 40.
      – Pour le 11-13 et 27-27 bis J. Vallès, c’est à dire les deux autres parcelles à proximité (et que la ville veut englober dans le projet) il s’agit de « (40) logements en accession » avec 200 m2 de commerce/activité.
      Dès lors, vous l’aurez compris, la question du relogement de gens forts modestes voire sans papiers ne se réglera pas in situ même si certains ont tenté de le faire croire pour faire passer coûte que coûte un projet très discutable.
      Enfin évitons les caricatures : le « Jardin éphémère » n’a de jardin que le nom, il s’agit en réalité d’un passage agrémenté de quelques plantes vertes. Il faudrait à mon avis absolument conserver cet accès stratégique pour les Puces en intégrant notamment des arbres de hautes tiges prolongeant ceux de la rue Neuve Pierre Curie.
      Le long des murs aveugles, dans l’esprit petits stands neufs de l’allée n°6 du marché Paul Bert, quelques petites constructions, pourraient abriter à terme des services pour les habitants du quartier et les Puciers (petite épicerie, DAB, kiosque…). Sans oublier de donner une meilleur lisibilité commerciale pour le marché Jules Vallès.
      Quant au « béton » il est le matériau habituel des constructions d’aujourd’hui. Il peut se marier intelligemment avec le bois, le métal, la brique…
      Pour mémoire, la qualité architecturale n’est pas réservée aux copropriétés.
      Amicalement
      EPS

  12. Saly,post 14,je suis assez d’accord avec vous et surtout l’idée d’un comité de quartier!
    Pour désamorcer les interrogations et conserver la main(dans le pur style “la parole au peuple”mais on conserve le décisionnel du FdG),la municipalité a décidé une réunion avec JR,le mardi 15 mai,à 19H,Cap St-Ouen,salle située au rez de chaussée,entrée par le 124 rue des Rosiers!
    C’est adressé:
    aux habitants de la rue Paul Bert
    aux associations représentant(s) les marchés et commerçants des Puces
    aux commerçants de la rue Paul Bert
    Ca concerne “les problématiques de circulation et de stationnement de la rue Paul Bert,notamment les jours d’ouverture du marché aux Puces”!
    …ça semble faire l’impasse sur Mazeau!

  13. Je suis pour la construction de logement sociaux afin de répondre aux attentes des familles qui vivent dans des conditions de logement déplorables. Naturellement, il faut rejeter la privatisation des organisme HLM et dire non au directeur général d’Atlantic-Habitations qui souhaite “désoviétiser” les logement H.M.L.
    Il oublie une chose, c’est que le majorité des mal logés de ce pays sont pour “la soviétisation” du logement social. Cela ne veut pas dire qu’ils sont pour tout “soviétiser” …

  14. Bonsoir,
    Si je comprends bien les post 14 et 16, on bétonne car ceci répond à la demande des familles du 17-19 rue Jules Vallès. Soit. On bétonne un jardin dans un quartier qui manque cruellement d’espaces verts ? On sacrifie tout désenclavement ultérieur de cette partie des puces ? On rajoute du trafic routier dans une rue très souvent encombrée ? Tout ça aux frais des Audoniens ? L’objectif dans cette ville c’est que ce soit Saint-Ouen dans son intégralité qui devienne une HLM ? La loi SRU impose aux communes de disposer d’au moins 20 % de logements sociaux, c’est très largement le cas chez nous. Et quel est le maximum de logement sociaux qu’une ville peut supporter ?

    • @ DAL Saint-Ouen

      Merci pour ces rappels de vos communiqués mis en ligne sur ce blog.

      Chacun le comprendra, au-delà des maniupulations, ce n’est pas la construction de quelques logements en copropriétés sur un accès stratégiques aux Puces qui règlera le problème des relogements des familles très modestes (parfois sans papiers) du 17-19 Vallès.

  15. Dumez,

    Je ne dis pas qu’il faut plus d’hlm mais que si des logements doivent être construits dans cette zone, ils doivent l’être en priorité pour les personnes qui ont vécu ce drame : que vient faire le volet accession à la proprio dans cette affaire?

    Conserver le jardin, pourquoi pas, à condition de ne pas en faire un caniparc géant, urinoir comme de nombreux espaces vert à so, comme la promenade sur Arago.

    J’ajoute donc à la liste d’eric : des wc publiques avec une madame pipi (les puces : patrimoine culturel), l’occasion de créer un job! C’est le cas dans de nombreux endroits à paname!!!

    Concernant le béton Eric(qui est le matériau basique de toute construction), je fais confiance aux architectes choisi par la Ville et au charabia habituel : normes environnementales, économie d’énergie etc….et puis n’oublions pas d’indiquer dans la liste les belles sculptures implantées au pied des immeubles!

    Une question : que pense le dal de ce dosier?

  16. Si l’Histoire ne repasse pas les plats, il y a fort à parier que les mêmes principes de gestion entraînent les mêmes histoires.

    La municipalité (et oui car ils ont tous voté pour) devrait revoir ce mauvais projet.

    Quant à une réunion annoncée à Cap Saint-Ouen pour traiter de la circulation rue Paul Bert, c’est une vaste tarte à la crème.

    Peux-ton interdire un des éléments du marché aux Puces : le transport, la dépose, la reprise des marchandises durant le week-end?
    Et l’annonce de places réservées aux Puciers à Cap Saint-ouen est une galéjade s’il s’agit des camionnettes et autres gros véhicules.
    Doit-on penser que c’est pour mieux faire passer la suppression du parking Vallès ?

    Comment vont accéder tous les riverains habitants (Boute et autres maisons)?
    il faut vite y penser car l’OPHLM a projeté 40.000 euros pour un contrôle par bornes (ancien détérioré par les visiteurs et autres squatteurs du parking des Boute.

    Qu’elle gestion de l’espace publique lors du festival des Puces ou autre moment fort pour redynamiser les Puces ?

    Quand à Mazeau, va-t-il fermer (ou y est obligé) le vendredi après-midi et le samedi ?

  17. Dumez,post 17,si on tenait à “désenclaver” “une rue très souvent encombrée”,on n’avait qu’à s’en tenir au plan initié en son temps par la municipalité de Fernand Lefort d’une voie(rue Pierre Curie)reliant les rues Charles Schmidt à Etienne Dolet en perçant ce quartier entre les rues des Rosiers et Ch.Schmidt.On aurait pu aussi favoriser la sortie des clients de Mazeau par la rue Lécuyer sans les obliger à faire “entonnoir” devant le croisement Vallès-Paul Bert comme d’autres devant “l’usine” rue des Bons Enfants!
    Mais bon,il y a longtemps qu’édiles et urbanistes qui régentent notre vie quotidienne ont renoncé à “améliorer le trafic”!Ouvrons les yeux,partout,leur seule préoccupation est de casser la circulation automobile.Une étude des sens uniques dans notre ville est lumineuse!

  18. La concertation, l’écoute , le dialogue, peuvent aboutir à des compromis qui satisfassent l’ensemble des parties concernées ! Mais lorsque les réunions se passent une fois que les décisions sont prisent ! Nous ne sommes plus dans le dialogue mais la duperie !

    Nous parlons là d’un patrimoine exceptionnel ! Pourtant ce site a été abandonné depuis trop longtemps au détriment des riverains et des puciers ! Il faut que cette municipalité arrête de faire du petit bricolage d’amateur !
    Beaucoup de grandes villes dans le monde nous envient d’avoir ce joyau sans pareil , mais au même moment nous sommes la risée de l’ensemble des observateurs , tellement le marché aux puces est ignoré par cette municipalité !

    Majdi Jeljeli
    Président de l’union syndicale du marché aux puces de Saint Ouen

  19. @ id-stg # 25

    C’est néanmoins l’adoption de la DUP qui a conduit l’Etat a examiné les dossiers des sinistrés sans-paps à l’hôtel. Ils ont tous été régularisés depuis quinze jours.

    La question reste pour ceux encore dans les immeubles à la dérive. Sur ce point, la lutte sera déterminante.

    Tu te souviens, je pense, de la lutte dure des habitants rue Jules Verne où, au final, tous ont été relogés et régularisés (pour les sans-paps).

    • @ Laurent

      Ayant été élu et, avec d’autres, un de vos interlocuteurs (ou partenaires) , je sais qu’effectivement dans ce genre d’affaire, sous la pression et pour sortir une solution, l’Etat concède de s’engager sur quelques régularisations. C’est tant mieux.
      Dans notre cas d’espèce le fait de contruire un petit immeuble en copropriété à un endroit incongru ne règlera pas le prioblème des sans papiers ni d’ailleurs des mal logés.

      Eric

  20. Le DAL fait son travail et cherche à ce que “les gens” mal logés puissent l’être dans des conditions descentes, voire plus.
    Une fois dit, il est évident que les 40 logements sociaux découlant de la restructuration des 85 studios pour étudiants intialement prévus avec l’accord de la mairie en son temps ne résoudront les problèmes que de quelques uns des habitants qui aujourd’hui sont soutenus par des riverains et ….le DAl. Je ne parle pas que des sans papier en cours de régularisation qui risque , espérons le , voir leur situation administrative comme qu’on dit trouver avec la venue de Hollande à la présidence une issue heureuse.
    La surpopulation dans ce lieu n’est évidemment pas un choix mais la résultante d’un marché immobilier dans lequel il vaut mieux avoir les moyens et l’origine qui convient. Et si des famillles viennent s’entasser aux risques que l’on connait mahleureusement dans des studios, c’est que les prix de loyer sont élevés et qu’un studio moins qu’ un deux ou trois pièces. Qui sait si tous ceux qui logent là aujourd’hui ont les ressources exigées pour pouvoir aspirer à leurs demandes . N’y a t-il pas là une zone d’ombre pour les habitants eux même. J’en connais quelques uns, soit potes de quartier, ami(e)s de mon épouse, parents d’élèves à Vallès et seul leur désir de se sortir de la merde les anime, en toute logique et légitimité. Quelles assurances ont -t-ils?
    Les respecter c’est déjà ne pas les instrumentaliser et n’en faire l’enjeu d’aucune opération immobiliaire politique ou autre!
    Pour la piétonisation des puces, personnellement j’en suis déjà à la troisième réunion où l’est abordé, promis, promotionné.
    Mais si on supprime le parking je ne vois pas où vont se foutrent les voitures qui stationnent le longs des trottoirs et où vont aler celles qui occupent le dit parking payant , occupé à quasiment cent pour cent le WE.
    Quand à la plate- forme pour les camions de transport d’antiquités, elle était soit disant prévu la où aujourd’hui les voitures privées qui viennent aux vernissages d'”Ah ma rage!” ( rue des rosiers) la célèbre galerie d’Art Officiel, et est close et vide le reste du temps , c’est à dire quasiment tout le temps.
    Quand aux commerces prévus dis tu Michel F,sur l’espace de la passerelle jardin éphémère ( 600.000E uros pour une canisette géante), n’oublions pas que le magasin de Bonzäï , a été une supérette en son temps ( fermée pour manque de rentabilité), un restau, une broc friperie etc ) et me semble vouée au mêmee echec programmé , même si l’idée est allêchante.
    Aujourd’hui l’ouverture du passage est assujetti au bon ( ou mauvais )vouloir des gardiens du Marché P Bert, et de je ne sais pas qui coté rue Vallès avec des horrires fluctuant, , mais la nuit se sera , dans la configuration actuelle fermé, au risque de voir les indélicats tentés par des visites nuitesquesz pas seulement à vocation artistique et culturelles…
    Oui à la rénovation du 15/17 ruer Paul Bert mais Non à cette ‘”opération” immobilière à la petite semaine, sans vision et sans concertation comme d’hab’

  21. Eric,post 28,construire 20000 logements ne règlera pas le problème du logement,régulariser 100000 cas ne règlera pas la question des sans papiers,créer 200000 emplois ne règlera pas le problème du chômage…etc…Deviendrais-tu partisan du tout ou rien?
    Dans ce cas d’espèce,sans juger de la pertinence de tes propos,c’est que dans ta guérilla anti-Rouillon,tu as décidé une fois de plus de prendre le contre-pied de JR!Pour une fois qu’elle semblait prendre plus en considération l’intérêt des habitants que celui des puciers…
    Le véritable problème est d’engager un débat sur l’avenir de ce quartier.Comment le rendre vivable pour les habitants,ceux qui y travaillent(Cap S.O.,revendeurs de métaux chez Mazeau),ceux qui vivent des puces(antiquaires,biffins,déballeurs,porteurs,vendeurs de fringues ou de franfreluches,restaurateurs…etc…),ceux qui essaient d’y animer une vie culturelle(jazz manouche,Main d’Oeuvre,artistes divers:peintres artistes de variété comme Adel,compagnies théâtrales comme le Piccolo ou la troupe d’Adel)…etc…
    Le rendre vivable c’est avant tout régler deux problèmes majeurs:la circulation avec des parkings,le commerce.Il n’est pas normal,par exemple, que le plus proche marchand de journaux soit situé dans un autre département(à Paris,Bd Ney).Toutes les équipes municipales s’y sont employées depuis 50 ans sans qu’on perçoive bien leur but!Extension du domaine pucier avec la transformation du garage Poré en marché Serpette,ouverture du Passage et des marchés de prestige(Malassis…etc…),extension de l’habitat sur l’emplacement d’anciennes usines(Programme Paul Bert-2 villa Réant de la Semiso,René Riou,rue Neuve-Neuve-Curie,l’immeuble du 57 rue Jules Vallès)ou de boxes(comme celui compris entre les rues Mathieu-Kléber-Lécuyer et dont l’entrée sert de foyer socio éducatif aux élèves du lycée).Je ne me souviens pas ce qu’il y avait avant à l’emplacement des Boute et des 3 HLM de la rue Neuve-Pierre Curie).Enfin l’essai d’empêcher la désertification industrielle après l’arrêt d’activité chez Wonder et Chaix en transformant cette dernière entreprise par la Semiso en CAP-S.O.Le seul échec c’est de créer des commerces de proximité(comme dans un village de la France profonde)échec du “marché” sur le lieu de l’actuel programme Paul Bert-2 villa Réant,de la supérette tranformée en commerce de Bonzaïs(place Django Rheinhardt).
    En deux mots voilà le contexte dans lequel discuter ces différents problèmes.Ce n’est pas simple;alors inutile d’exacerber les tensions à des fins partisanes.Faire des propositions concrètes et créer des lieux ( style maison de quartier)où les différents interlocuteurs pourraient apprendre à communiquer,à se parler…

  22. Lorsque l’on me parle du 17-19 vallès, je ne peux m’empêcher de repenser aux revendications du DAL, que je viens de relire : régularisation des sans-papiers, relogement des familles, expropriation du marchand de sommeil.

    Si une réhabilitation de l’immeuble et la construction de logement sont prévues dans la rue Vallès, elles doivent être réalisées en priorité pour régler la situation difficile de ces familles : c’est le projet initial.

    “Le maire a opté ….pour un projet bien plus large…contre les puces” “C’est du devenir des puces dont il s’agit”

    Lorsqu’on lit ces phrases et que l’on relit ceux du DAL, on s’éloigne un peu des valeurs humaines et sociales tant défendues par François and cie : “l’humain d’abord”!!!

    Même si les histoires de parking, de stationnement ne doivent pas être ignorés, ceux ci ne régleront pas les problèmes des familles qui sont en attente de relogement!

  23. Encore une fois,Saly,post 31,je suis sensible à vos arguments.J’espère seulement que ce relogement ne se transforme pas en ghetto et que là aussi il y ait de la diversité dans l’attribution des nouveaux logements!

  24. Une fois que le volet social et humain de ce dossier sera traité, il faut effectivement, comme le soulignent paco et michel traiter le volet économique et urbain.

    Ils connaissent tous deux très bien leur quartier et devraient être associés aux discussions, histoire d’aller un peu plus vite!

    Vous voyez; Michel, je vous préfère dans ce rôle-là : votre analyse et vos propositions sont intéréssantes!

    Comme le dit souvent Marie : c’est parler de choses concrètes; ceux qui en parlent le mieux, sont ceux qui y vivent au quotidien!

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