Dysfonctionnements répétés, rétention d’informations sur le passé, manque d’implication, interventions contradictoires, conceptions différentes de l’avenir et des conditions de l’alternance… le groupe d’opposition au Conseil municipal se scinde en deux[1]. Hélas, plutôt une bonne nouvelle pour la Gauche locale.
A bien des égards, derrière ce divorce amiable, la rupture était semble-t-il consommée depuis assez longtemps entre l’ancien Maire, Jacqueline ROUILLON, figée dans une posture peu « participative » qui jouait, non sans calcul, sa partition en solo et Frédéric DURAND (PCF) Président de groupe qui, avec ses amis, était toujours au « charbon » multipliant les initiatives, les actions et les ouvertures vers d’autres composantes.
C’est finalement lui, qui quitte le groupe « Tous unis pour Saint-Ouen » (nom bien mal choisi de la liste conduite par l’ancien Maire en 2014). Dans cette démarche il est suivi par les communistes Emilie LECROCQ et François GIUNTA[2] mais aussi par les non encartés Denis VEMCLEFS[3] et Samira KATEB. Nom de ce nouveau groupe « Avenir Saint-Ouen ».
Du coup, Jacqueline Rouillon, Mustapha Krimat[4], Asma Guenifi[5] et Hayat Dhalfa[6] se retrouvent abandonnés à leurs sorts. Ils pourront néanmoins, pour certains, continuer à faire des yeux doux aux amis de la France Insoumise. En espérant que les membres de cette nouvelle formation (dont notre Député Eric Coquerel) ne soient pas trop regardant sur leurs passés.
Convenons-en, tout ceci ressemble fort à une tempête dans un verre d’eau pour la plupart des citoyens. Toutefois cette séparation courageuse a au moins le mérite de la clarté en évitant les rabibochages de circonstances.
Quant au Maire, William Delannoy, il aurait tort de se gausser de ces divisions. Lui qui continue à surfer sur le rejet de l’ancien Maire[7], en réécrivant souvent l’histoire, devrait commencer à méditer. D’autant que les couteaux s’aiguisent au sein de sa Majorité malgré l’unanimisme de façade entre les partisans de la droite classique (LR-UDI)[8], les nouveaux Macroniens ou la pseudo gauche indépendante. Ces différentes fractions ayant en commun une grande lassitude de Monsieur « mon parti c’est Saint-Ouen » devenu « Saint-Ouen, c’est moi » et sa dérive populiste hors contrôle.
Après la décomposition, la recomposition dit-on.
A deux ans de l’élection municipale, cette rupture à Gauche peut être féconde. Elle peut faire bouger les lignes. Elle peut aussi contribuer à construire une alternative municipale avec toutes les forces de Gauche non représentées au Conseil municipal et bien au-delà.
Cela passe bien évidemment par une analyse critique du précédent mandat, la mise à jour de propositions claires et réalistes, la mobilisation de compétences et de citoyens très divers. Dont une partie de ceux qui n’avaient pas voter pour la liste “Rouillon” (des adversaires, des abstentionnistes ou de nouveaux habitants).
Il va s’en dire sans homme providentiel ni de mauvais remake d’une simple coalition de partis politiques peu représentatifs. Bref en inventant.
Eric PEREIRA-SILVA
[1] En réalité 10 membres désormais divisés par 3 puisque le mystérieux Driss Aït Youssef (un ex proche de Jacqueline Rouillon), spécialiste de la sécurité et ancien collaborateur de Charles Pasqua (sic !) a quitté le groupe dès le début de cette mandature pour siéger seul. Il se contente (quand il y vient) de quelques interventions au Conseil et publie de temps à autres une tribune libre dans le journal municipal. Visiblement il ne manque à personne. Nous aurons donc (cf. photos : 3 groupes : l’un de 5 membres, l’autre de 4 et un groupe de… 1 personne).
[2] Emilie Lecrocq qui fut très brièvement Conseillère municipale (suite à une démission) à la toute fin du précédent mandat) et François Giunta qui fut Adjoint au Maire au logement de Jacqueline Rouillon (de 2008 à 2014) et qui vient juste d’intégrer le Conseil suite à la démission de Gérard Robert (partant en retraite et quittant la ville) et ami proche de l’ancien Maire
[3] Denis Vemclefs qui en dehors d’être un des principaux animateurs de l’opposition fut l’initiateur de l’association « Actifs et solidaires » qui joua (entre autres) un rôle de Comité de soutien électoral à Jacqueline Rouillon. C’est dire si la rupture est significative.
[4] Mustapha Krimat : un vrai « transversal », ancien adhérent du PCF, il adhèrera au PS pour obtenir un poste de conseiller délégué (aux associations 2008-2014) puis rejoindra en 2014 la liste du Front de Gauche (comme « socialiste unitaire”). Il est aujourd’hui dans le groupe action de la France Insoumise… Un garçon dispendieux et qui porte chance.
[5] Asma Genifi ancienne Présidente de l’association « Ni putes, ni soumises » elle est Psychologue au sein de l’association française des victimes du terrorisme. Une citoyenne engagée, connue et reconnue, dont on peine à comprendre ce qu’elle fait dans cette drôle d’histoire.
[6] Hayat Dhalfa, jadis pressentie pour succéder à l’ancien Maire, elle est une proche d’Eric Coquerel avec lequel ell a milité dans le passé. Elle l’aurait même encouragé à se présenter sur la circonscription. Semble-t-il toujours gravement malade elle ne siège plus au Conseil. Tout ce qu’on lui souhaite c’est d’y revenir.
[7] William Delannoy ne déclarait-il pas devant le Conseil municipal en s’adressant à Jacqueline Rouillon : « tant que vous serez là, je serai là. Vous êtes mon meilleur agent électoral ». L’affaiblissement de sa meilleure ennemie n’est donc pas une bonne nouvelle.
Enfin de la clarté dans l opposition au cmal. Vérité et mains propres d un côté, de l autre suffisance, gaspillage, errements politiciens.
Malgré la necessité morale de sa demission, jr s accroche, mais confirme tout l intérêt pour WD de la garder et pour les citoyens honnêtes, l effondrement
personnel politique à éviter.
Enfin une bonne nouvelle !
“Convenons-en, tout ceci ressemble fort à une tempête dans un verre d’eau pour la plupart des citoyens. Toutefois cette séparation courageuse à au moins le mérite de la clarté en évitant les rabibochages de circonstances.”
Bien sur dans ce cas là on minimise. Il y aurait eu un éclatement au sein de la majorité municipale et cela serait apparu comme une véritable tempête politique.
“A deux ans de l’élection municipale, cette rupture à Gauche peut être féconde. Elle peut faire bouger les lignes.”
Ca pour faire bouger les lignes cela risque de les faire bouger. A gauche comme à droite on va droit vers l’éclatement pour les prochaines municipales :
A droite : au minimum deux listes : celle de Delannoy et celle de Zumbo Vital plus peut être une liste d’extrême droite.
A Gauche : c’est là que les divisions risquent d’être les plus nombreuses :
Une liste estampillé PCF avec comme tête de liste JR (?), une liste “divers gauche” conduite par Durand, une liste PS (?) conduite par Bouamrane (?), une liste LFI, une liste Ecolo conduite par Dina (?) sans oublier LO et le NPA et peut être une liste “citoyenne” rassemblant des personnes venant d’horizon divers mais ne voulant plus se mélanger avec celles et ceux qui de près ou de loin qui ont fricotés avec les diverses majorités d’hier et d’aujourd’hui.
On peut imaginer que LFI et Durand fasse causse commune “En espérant que les membres de cette nouvelle formation (dont notre Député Eric Coquerel) ne soient pas trop regardant sur leur passés.” Ce que à titre personnel je n’espère pas.
” la démission de Gérard Robert (partant en retraite et quittant la ville)” Ouf ! Lui je ne le regretterai pas. Loin de là.
Mustapha Krimat : PCF puis PS puis Front de Gauche aujourd’hui LFI un vrai « transversal » un vrai de vrai.
Hayat Dhalfa : je lui souhaite un prompt rétablissement. Pour le reste c’est non en ce qui me concerne.
“William Delannoy ne déclarait-il pas devant le Conseil municipal en s’adressant à Jacqueline Rouillon : « tant que vous serez là, je serais là. Vous êtes mon meilleur agent électoral ». L’affaiblissement de sa meilleure ennemie n’est donc pas une bonne nouvelle.”
Il aurait mieux fait de se taire. L’affaiblissement de JR est significative de divisions supplémentaires à gauche. Ce serait donc plutôt une bonne nouvelle pour lui. Sauf que son propre camp est divisé vu qu’il a été incapable d’y maintenir l’unité et c’est là que se situe plutôt la mauvaise nouvelle en ce qui le concerne.
Bref la situation s’éclaircit mais en même temps se complique.
A suivre.
Faudrait voir aussi si cette rupture(puisque personne est capable de nous dire sur quelle divergence politique elle se serait faite)n’est pas tactique pour permettre de peser plus, en cas de constitution d’une liste de Gauche pour les prochaines municipales. Liste qui regrouperait un cartel d’organisations renforcé par quelques personnalités de “la société dite civile”!
Comme avant 2014 avec quelques orgas institutionnelles en plus comme les Insoumis.
En plus si le PS semble avoir trouvé son leader il ne semble pas en être de même pour les Insoumis et surtout le PCF(J.Rouillon, F.Durand, Clerc…etc…)?
Malheureusement le camp que vous appelez des “citoyens” n’a pas été capable de se renouveler après les maintes récupérations de ses leaders passés: Eric Pereira, Lias Kemache, qu’est devenu M.Keita? A moins que des militants en rupture avec leur Parti comme Henri Le Lorrain aient la capacité d’unifier ces “citoyens” et ces nouvelles actions(soutien aux migrants de la Pte des Poissonniers, action pour le Velib, de parents d’élèves, pour Bauer, contre les projets immobiliers, à quand nos zadistes sur le site de Wonder?) et nouvelles conviviabilités(qu’on voit naître sur les sites audoniens de FB) mais je pense vu le retard pris que ce ne peut être qu’en gestation pour 2026-27!
J’ai bien peur qu’encore une fois “on change pour que rien ne change”.
@ Michel Fainzang
Vous au moins, avec votre absence d’engagements concrets, vous ne risquez d’être “récupéré” comme vous dîtes.
Il y a hélas bien longtemps que vous vous contentez, avec une pointe d’aigreur, d’être un simple commentateur.
Une chose est certaine c’est que si l’on veut ne rien changer on peut compter sur vous.
Quelle aigreur? Je constate et je pense, mais j’espère me tromper, que les conditions ne sont pas mûres pour que l’expression de forces autonomes de citoyens (comme auraient pu le devenir l’ID-STG de 1995 si certains impatients de “changer les choses” ne s’étaient pas ruer en 2001 sur les strapontins offerts par Madame Rouillon) n’ait la capacité de peser sur l’avenir de cette ville dès 2020-21!
Ceci dit, je reconnais n’être qu’un commentateur de la vie politique de Saint-Ouen et de ne pas avoir comme toi,Eric, participé aux grands changements qu’elle a connu. Mais tu as été indemnisé pour ça, non?
C’est un peu dommage que vous soyez toujours obligé de recourrir à des attaques désobligeantes voire mettant en cause la moralité de vos anciens amis.
Ainsi, Monsieur le professeur, le verbe se “ruer” est assez inadapté puisque nous savions, depuis quelques années, qu’en 2001 la Majorité d’alors viendrait probablement nous “solliciter” (nous et les écologistes). Il est vrai dans un contexte “Gauche plurielle” au niveau national, mon analyse locale : “Rentrer sans combattre” (connue de tous nos amis sauf de vous puisque vous étiez retourné à vos chers études) c’est donc révélée la bonne. Dès lors en restant nous-mêmes dans notre positionnement de 1995 à 2001 nous étions plutôt la tortue que le lièvre.
Quant au terme de “strapontin” que vous utilisez il est assez excessif puisque j’ai été élu (à l’unanimité du Conseil d’ailleurs) : Adjoint au Maire au Développement économique, au commerce, aux marchés et à l’artisanat. Certes, un titre long comme le bras avec des prérogatives limitées mais de là à dire que je n’avais aucun pouvoir en étant dans l’executif défie toute réalité. Il n’aura pas échappé non plus à votre sagacité que si j’avais eu un simple strapontin (et été un doux agneau) j’aurai sans doute conservé un “strapontin citoyen”. Pour l’anecdote, Rémi Fargeas pourra vous le confirmer, Mme Rouillon et M. Bentolila furent très déçus de leur propre manoeuvre de limogeage car ils espéraient que je prenne ma carte à EE-LV pour conserver un poste de simple Conseiller municipal pour le mandat suivant (2008-2014). J’en sourit encore.
Enfin, entre commentateur et Adjoint au Maire (indemnisé), il existe fort heureusement, je vous le confirme d’expérience, beaucoup d’autres possiblités d’être engagé et un citoyen actif.
COMMUNIQUE DU GROUPE « AVENIR SAINT-OUEN »
Dans le souci d’être toujours plus efficaces dans notre opposition à la politique catastrophique du Maire William Delannoy, nous avons décidé de créer un nouveau groupe municipal.
Des approches distinctes répétées ont abouti à un blocage de l’action du groupe Tous unis pour Saint-Ouen.
Selon nous, dans cette opposition, l’expression de la diversité sera toujours plus utile aux habitants que le manque de cohérence.
Face à un maire qui agit comme un rouleau compresseur nous voulons mettre toutes les chances de notre côté pour stopper ses projets néfastes, privatisation des logements OPH, Projet Wonder, fin des vacances pour tous…
Avec les habitants de notre ville et toutes les forces disponibles nous voulons travailler à une alternative solide pour éviter un second mandat de William Delannoy qui défigurerait Saint-Ouen, chasserait définitivement les classes modestes, mettrait fin à la diversité et la solidarité qui fait la richesse de notre cité…
Résister, agir au présent pour construire l’avenir est l’ambition que nous nous fixons. Elle exige clarté et courage.
C’est pourquoi nous avons créé le groupe d’opposition “AVENIR SAINT-OUEN”.
Aujourd’hui comme hier vous pouvez compter sur nous !
Contact : avenir93400@gmail.com
Frédéric Durand, Emilie Lecroq, Samira Kateb, Denis Vemclefs, François Giunta.
Concernant le communiqué du groupe “Avenir Saint Ouen”, il est regrettable que l’on ne sache pas ce que sont ces “approches distinctes répétées”.
M.GIUNTA n’était il pas Maire Adjoint chargé du logement dans la précédente majorité ?
Le score aux législatives à Saint Ouen (je dis bien à Saint Ouen) de M.DURAND pose question.
Cette rupture à deux ans des municipales………..bizarre, étrange.
La réponse que m’a fait EPS donne la clef de cette rupture. Donc pas si étrange que ça.
Cette réponse ressemble plutôt à une sorte de “règlement de compte” entre vous, elle ne donne pas de précisions en ce qui concerne le fond sur la rupture au sein de l’opposition municipale.
Justement!
Transparence et modération
Dans une note de bas de page de l’article sur la rupture au sein du groupe « Tous unis pour Saint-Ouen » nous avons au passage épinglé le conseiller municipal d’opposition qui, a déjà quitté ce groupe en tout début de mandat (pour une raison que nous ignorons). Bien qu’il siège seul, il est considéré comme un « groupe » et bénéficie (comme d’autres dans le passé) d’une « tribune libre » mensuelle dans le journal municipal de Saint-Ouen.
Celui-ci nos a contacté pour nous faire part de sa colère et de son incompréhension des propos tenus à son égard. Il est vrai quelques lignes pas très charitables et dans style un peu abrasif comme nous en avons convenu lors d’un échange assez franc. Et sans nous formaliser de paroles en retour presque menaçantes. Acte donc.
Pour le reste son positionnement et son rôle d’élu reste pour nous peu explicite pour employer un langage aimable. Nous nous efforcerons à l’avenir de lui accorder sur ce blog le « droit à l’oubli ».
Il peut néanmoins, bien évidemment s’y exprimer en toute liberté et dans le style qu’il lui plaira.
Eric PEREIRA-SILVA
Le Maire et son équipe reprennent les méthodes qu’ils condamnaient quand ils étaient dans l’opposition.
Un pseudo comité d’habitants du quartier Debain, inconnu de tous, appelle à une réunion en présence de William Delannoy.
Le préposé à l’affichage de l’appel l’a copié sur une feuille de la Mairie.
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=1573512436089858&set=gm.1781542561898634&type=3&theater&ifg=1
Une partie de l’opposition (dont le Président de groupe) faisait il y a peu secession et quittait l’ancien Maire (battue sèchement en 2014). Dans un communiqué en langage diplomatique publié le 15 janvier les insurgés évoquaient simplement au détour d’une phrase “Des approches distinctes répétées ont abouti à un blocage de l’action du groupe”. Comprendre : ils ne bossent pas, nous critiquent, s’expriment sans concertation et Rouillon nous raconte pas tout sur ses exploits passé.
COMMUNIQUE
http://www.avenirsaintouen.fr/2018/01/communique-du-groupe-avenir-saint-ouen.html
Enfin ! ce 27 janvier, 12 jours plus tard, Un communiqué de Jacqueline Rouillon et de ses amis sur le départ de plusieurs de ses colistiers du Groupe “Tous unis pour Saint-Ouen”. Un texte lui aussi très langue de bois.
En résumé : je ne comprends pas pourquoi il(s) me quitte(nt). Notre ménage se portait bien on s’aimait, évidemment avec des hauts et des bas, mais là ce départ brutal c’est inexplicable !
Défense de rire.
COMMUNIQUE
https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=2002273266654272&id=2000923136789285
Aussi langue de bois les uns que les autres.
“Des approches distinctes répétées ont abouti à un blocage de l’action du groupe Tous unis pour Saint-Ouen.”
Quelles approches distinctes ? Des exemples ? Du concret ? Rien.
Et de l’autre c’est la petite musique de 2014 : “on comprend pas pourquoi on a été battus” remplacé par “on comprend pas pourquoi ils nous quittent”. Visiblement ceux là ils ne comprendront jamais rien. Mais ils ont apparemment l’intention d’être présent en 2020.
“Les élus du groupe “Tous unis pour Saint-Ouen” : qui sont ces élus ? Mustapha Julien Krimat en fait il partie ?
Défense de rire. Oui ça vaut mieux sinon il pourrait y avoir des “morts”……………de rire.
Le débat continue à se clarifier sur SOP sur FB!
https://www.facebook.com/groups/920308594688706/permalink/1781929105193313/?comment_id=1782740521778838&reply_comment_id=1782751761777714¬if_id=1517148657167222¬if_t=group_comment_reply&ref=notif
C’est bien gentil de nous mettre des liens vers les fesses du book mais ça ne fonctionne pas pour tous le monde.
Mille excuses, je ne savais pas!