Table rase…

Selon des sources proches du dossier des Docks et suite au résultat du concours sur le nouveau Parc,  pourtant fort contesté, il semblerait que certaines oeuvres d’art dans l’actuel parc Abel Mézière soient rayées de la carte dans le réaménagement futur.

Il en est ainsi de ce puits, témoignage du passé rural de la Ville, proche de l’ancien village de Saint-Ouen, et  trônant fièrement devant l’actuel “Château” depuis de nombreuses années..  Il disparaitrait purement et simplement du paysage au profit d’une conception épurée de l’espace vert dessiné par nos talentueux paysagistes qui font peu de cas de la culture populaire.

Il semble que parmi d’autres, l’association culturelle “Amarrages” s’en soit fortement émue. Elle ferait nous-dit-on circuler une pétition pour  la (re)mise en situation de cette oeuvre ou à défaut proposerait de l’intégrer dans sa galerie rue des Rosiers.

… à suivre

Facebooktwitterredditpinterestlinkedintumblr

Facebookrss

1 réflexion sur « Table rase… »

  1. Effectivement, comme d’autres bien mis a mal par le temps, un manque d’entretien et de réflexion dans la présentation, à l’image de celle faite de résine en forme de porche arqué, dont les bases sont endommagées.
    Fruit d’un artiste audonien, il serait bien que celui soit sollicité pour sa remise en état.
    Dans le cadre du Pôle citoyen de la Zac des Docks, c’est aspect a peu été voire quasiment pas évoqué à ma connaissance.
    Je suggère que sous la responsabilité du maire adjoint aux affaires culturelles et des archives publiques, il soit établi un inventaire méticuleux des oeuvres afin d’éviter tout risque de “perte”.
    L’association AREHA pourrait être en premier lieu sollicitée, et naturellement le service des Archives.
    A ce propos, j’ai été rassuré par les archives communales sur le sort des tapisseries de la salle des mariages après leur dépose qui seraient sous controle publique communal.
    Par contre, il semblerait que “l’ignorance ” caractérise la connaissance officielle du lieu de vie actuel des bas-reliefs, sculptures qui trônaient en plein aire à l’arrière des bains douche dans l’ancienne piscine Delaune.
    En tous cas, j’espère que toutes les interventions culturelles dans l’aménagement de la ZAC et des espaces publics seront sous le réel contrôle de la Ville et nullement déléguées aux amis du maire.

Répondre à François Taquet Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *