« Esclaves municipaux à l’esprit borné » ce doux qualificatif avait gratifié trois membres de la Direction Générale de la Ville de Saint-Ouen dans un courriel le 11 juillet 206 adressé à trois associations.
Pour ces faits* D.M. a été condamné par le Tribunal de Grande Instance de Bobigny pour « faute civile sur les faits d’injures publiques envers des fonctionnaires publics ». Il devra verser aux intéressés 1 € de dommages et intérêt et 500 € en réparation de préjudice.
Respect minimum des agents publics et judiciarisation des rapports sociaux… à méditer
* à priori dans le contexte de l’affaire du 4 rue Jules Verne (ndlr: expulsion de squatters d’un immeuble destiné à la réhabilitation pour du logement social).
Je connaissais pas cette formule mais pour ma part je la trouve inappropriée et à côté de la plaque .