Le Parisien de ce matin, lundi 1o octobre 2011, évoque le lourd soupçon d’emploi fictif à l’OVL au profit de Jacqueline Rouillon entre septembre 1986 et mars 1991. Une information qui suintait depuis quelques jours et qui fait l’effet d’un coup de tonnerre.
Si les éléments matériels cités semblent très précis et détaillés, … Lire la suite...