Ressourcer la démocratie locale (ou dans notre cas l’inventer), retrouver un lien entre les citoyens et les élus, combattre l’abstention et le repli sur soi, retrouver un peu d’humanité et de solidarité….

fêtes des voisins ou fête de la musique, les initiatives citoyennes dans nos quartiers souvent parties de « la base » montrent qu’il ne faut point désespérer et que de simples habitants ont parfois un peu plus d’imagination que les partis – fussent-ils réputés majoritaires aux élections – pour redonner un peu de sens et d’espoir.

Il est étonnant dans cette optique, et au-delà des « festivités »,  que les Comités de quartiers dans notre ville ne soient pas initiés ou encouragés, mais plutôt redoutés par la majorité municipale (ou du moins sa branche soutenant la « révolution citoyenne »).

A signaler, les prémisses de structuration associative et citoyenne à Debain autour du devenir du terrain de boules, de l’espace vert entre les rues Graviers et de recherche de lieux possibles des jardins partagés… ou encore aux Puces avec l’apparition de l’humoristique Comité de quartier Clandestin revendiquant l’action directe  avec un barrièrage sauvage du passage des Bons Enfants avec son escalier aux marches écroulées depuis des mois devant l’accès aux écoles.