Résistance

 

Le Parisien de ce mercredi 14 septembre l’annonçait en une de ses pages locales, les habitants du quartier Arago-Zola se mobilisent à nouveau contre les dealers. Une initiative populaire et courageuse.

A l’arrivée, sur cette affligeante placette rue Martin Levasseur, beaucoup de monde autour d’un repas convivial et bon enfant. Une brochette d’élus municipaux, le Maire, le Député et quelques personnalités locales sont venues témoignées leur soutien à cette mobilisation citoyenne (cf. article du Parisien du 15 septembre)

Ce n’est évidemment pas la solution miracle et rien ne remplacera le travail de prévention et de sécurisation en amont de la part des institutions. Ceci ne dispense pas non plus d’une répression proportionnée et efficace contre les traficants. Bien sûr les dealers, leurs” choufs”, les “nourrices” et les… consommateurs reprendront sans attendre le terrain. Mais la symbolique est forte dans une ville riche et puissante où le Maire (depuis 10 ans) à laisser “filer” la situation en renvoyant toute initiative à l’Etat en se contentant à son niveau de bricoler tardivement. Le tout dans un quartier où les espaces publics restent indignes avec des réaménagements de qualité et sécurisant toujours différés depuis des années.

Il ne faudrait pas que le Maire  se contente d’appuyer, soutenir et encourager les habitants à monter en “première ligne”. Il lui faudra obtenir des résultats tangibles dans son champ de responsabilités sur la sécurité. Elle qui redoute tant les contre pouvoirs, il lui faut encourager une citoyenneté active et structurer à l’échelle de chaque quartier pour résister efficacement au fléau de la drogue. Elle qui a semble-t-il “évoluer” sur la dépénalisation du cannabis , il lui faudra s’exprimer clairement.

En tout état de cause, cette intervention de militants associatifs reconnus, sans doute sur le terreau toujours fécond de l’ancien comité de quartier, est donc à saluer et à reproduire là où cela  ce sera possible dans d’autres secteurs de la ville.

EPS

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15 réflexions sur « Résistance »

  1. MERCI aux associations participatives de cette soirée. C’EST VRAIMENT UNE TRÈS BONNE INITIATIVE.
    J’espère que la municipalité va prendre le RELAIS et faire des repas entre voisins dans TOUS les coins sensibles mais le MEME jour.
    Hier, pendant qu’Arago faisait la fête, les leaders étaient entre E.Cordon et C.Monet pour ne déposer le bilan d’Arago.
    Les casquettes et les capuches avaient envahis les halls des HLM (habitat-public-de- Saint-Ouen) derrière des bureaux et appelaient les clients par groupe pour fournir la marchandise.
    Dans la cour étaient regroupés des groupes de 10 qui attendaient leur petite dose.
    Tout était bien calme, les habitants baissaient la tête de peur de représailles, aucune sirène aux alentours. De belles voitures aux vitres teintées étaient garées, prêtes à déramer.
    Quelques nouveaux habitants (jeunes couples) dans la rue Bauer demandaient aux guetteurs de faire plus attention à leur maison car leur porte avait été forcée. Je ne sais pas si les copropriétaires les paient pour faire vigiles des maisons en + ???
    Place Jean-Jaurès, les gens commençaient à fumer, à sniffer, à se piquer, à… enfin le quotidien à St-Ouen.

  2. Une initiative fort intéressante et il est important de rappeler qu’elle vient des habitants excédés par l’ambiance exécrable provoquée par les trafics de stupéfiants.
    Oui c’est important de le préciser car le Maire aurait tendance à récupérer politiquement ce genre d’initiative, alors que depuis le début, je la trouve plutôt passive sur ce dossier, se contentant de faire le constat et renvoyant systématiquement la responsabilité à l’état.
    Oui à quel moment le Maire de Saint-Ouen a t’elle tiré la sonnette d’alarme, face à l’installation de ces trafics dans les quartiers, mis à pars quand il y eu des gens à terre ?!!
    Elle a demandé plus de police et il semble qu’elle a reçu un écho positif, puisque une brigade spéciale a été mise en place à Saint-Ouen, d’ailleurs elle me fait assez rire car elle fait passer celle ci pour le retour de la police de proximité, alors qu’il s’agit plutôt d’une brigade d’intervention, qui privilégie l’action répressive au dialogue mais bon j’ai rien contre car aujourd’hui je pense que nous n’avons plus le choix mais c’est toujours marrant de voir les politiques dans leurs contradictions.
    En tous les cas, ce qui se passe à Tremblay et qui progressivement et inévitablement nous arrivera, a de quoi faire peur car la bas, on assiste à une radicalisation du trafic, avec des méthodes
    dignes d’une caricature mafieuse. Bien sur il y a eu les morts suite aux fusillades mais ça nous avons eu notre lot et je crains que cela arrive à nouveau, puisque les fusillades se multiplient ces jours ci dans nos quartiers et de l’aveu même d’un policier, à chaque fois nous frisons la catastrophe mais nous avons de la chance.
    Quand je parlais de radicalisation du trafic à Tremblay, c’est simplement qu’aujourd’hui, les dealeurs sont déterminés à continuer et à asseoir leur trafic et ils supportent de moins en moins , les attaques contre eux, qu’elles soient officielles par les forces de l’ordre ou associatives, avec des initiatives des habitants, comme celle que nous venons de vivre à Saint Ouen. Oui aujourd’hui il faut avoir conscience qu’à Tremblay, ce genre d’initiative n’est plus possible, sans de sévères représailles contre ceux qui oseraient défier leur pouvoir et leur commerce. Oui aujourd’hui les gens ont peur la bas et ils se résignent et je crains que dans peu de temps, nous connaissions la même chose dans notre ville.

  3. Si la mairie ne fait rien ce seront les citoyens qui se mobiliserons. En effet des patrouilles de rue citoyennes sont nécessaire pour alerter les forces de l’ordre du fléau. Et si tout le monde se moque du monde ( Mairie, Préfet etc…) il faudra prendre des initiatives plus radicales….

  4. Optical

    Et pourquoi pas créer des milices anti dealers, avec nos armes on pourrait alors karcheriser toute cette rackaille?
    Pourquoi, le soutien de la mairie a lieu précisement qu’à Arago alors que l on sait que le deal frappe beaucoup d autre quartier?
    Allons faisons travailler nos méninges…
    Ah oui c est vrai optical, la droite c est mieux au moins eux ne sont pas hypocrites….Pfffff

  5. Nicolas,post 4,pour Arago…je ne comprends pas.Vous ou JF ne pourriez-vous me donner un indice supplémentaire pour mettre en branle mes méninges?

  6. Résistez ! … et ne vous laissez pas faire !
    On est dans les taillis de France
    Fils de déchus des hors-la-loi
    Gars du maquis gibier de potence
    Parce qu’en la France on garde foi
    On nous appelle réfractaires
    Et on est tous des volontaires
    Que d’autres s’en foutent
    Mais pas nous …
    Juillet-Août 44
    1er Bataillon FTPF-FFI
    .. Prenez vos affaires en mains .. Intervenez partout ! A Saint-Ouen comme ailleurs …

  7. Je souhaite que mes propos paraissent; c’est la première fois que je le demande.
    S’agissant de la came( le shit);déjà, en 77 ou 78, nous, les JC, on avait des signes sur le trafic,!
    Pas sur l’usage, car ns n’étions pas en dehors des usages (JC que ns étions);du moins pour certains d’entre nous…..
    C’est sur le trafic que nous nous sommes interrogés, et que ns avons décidé d’attirer l’attention d’un élu réputé….. à l’écoute des jeunes….
    J’ai été chargé de ce taf.
    L’élu en question , que j’ai croisé entre deux portes (pour toute audience) m’a “rétorqué” “jamais cela ne c’est produit à à ST-OUEN,c’est faux!!!!, C’est aux JC de tenir les jeunes….
    Faites votre boulot!!!
    En 1979, j’ai quitté le PCF sur des désacords bien plus politiques, mais…, ces questions, comme toutes les questions “sociétales”, étaient, bien sûr au coeur de nos divergences.

    Ah oui, j’ai oublié de préciser, que le mec en question(l’élu), était membre du PCF!!!!
    C’est vrai , que de son appart Semiso, à la Mairie, et le retour, en bagnole avec chauffeur, à l’époque; la réalité pouvait échapper au commun des élus…..
    C’est la triste réalité…..
    Je viens de lire que les habitants baissent la tête………
    Mais dans quel film avons-nous baissé la tête????,
    nous les JC, …., jamais!!!!!!
    Des coprops qui paient des guetteurs!!!!
    Mais enfin, c’est comme …. aux US!!!!!!!!
    J’ai du mal à croire que des contributeurs comme Matéo; Taquet, Fainzang, Paco, Eric et d’autres, ne proposent pas de solutions.

  8. @JM Porte post8

    C’est vrai que le trafic de drogue existe depuis longtemps à Saint-Ouen, mais à la différence des années précédentes, c’est que depuis 3 à 4 ans, il est devenu visible au regard de tous pour venir s’installer un peu partout à Saint-Ouen en toute impunité, en multipliant ses points de vente dans les halls d’immeuble en pleine journée.

    En effet, cette nouvelle technique de vente développée par les organisations mafieuses toujours soucieuses d’augmenter leurs profits qui consiste, d’une part à organiser leur réseau de vendeurs avec des mineurs n’ayant pas besoin de se cacher pour continuer de vendre en plein jour puisque protégés par l’ordonnance de 1945 et d’autre part à développer le sentiment de peur et d’insécurité chez les habitants en occupant leur lieu d’habitation pour gagner leur silence, semble pour le moment toujours tout aussi efficace que légalement insoluble, sans une mobilisation forte et unie de la population pour y faire barrage accompagnée de moyens législatifs et exécutifs plus adaptés, sans oublier la responsabilité du bailleur vis à vis de ses locataires (et vice-versa).

    Cependant, l’extrait ci-dessous résultant d’un compte rendu d’une séance parlementaire témoigne à lui seul que les arguments utilisés pour appeler à renforcer les effectifs de police à Saint-Ouen entre avant d’hier et aujourd’hui eux aussi ont changé, si l’on considère que l’excès de la circulation automobile invoqué en 1977 et maintenant remplacé par celui de la circulation de la drogue en 2011.

    L’appel du « 18 juin » 1977…Du résistant Fernand Lefort ancien maire de Saint-Ouen de 1945 à 1979 (et sénateur)…..
    «
    *** INSUFFISANCE DES EFFECTIFS DE POLICE A SAINT-OUEN ***

    M. le président. La parole est à M. Lefort, pour rappeler les termes de sa question n° 2005.
    M. Fernand Lefort. Monsieur le ministre, le 18 mai, j’attirais votre attention sur la dangereuse baisse des effectifs du service de police à Saint-Ouen, qui intervient alors même que ceux-ci étaient déjà très largement insuffisants. Je vous rappelais, une nouvelle fois, que cette pénurie en personnel compromet la sécurité des habitants, notamment en ne permettant pas de répondre aux nécessités de service qu’impose la circulation automobile, particulièrement intense dans cette ville. De nombreux accidents touchant notamment des enfants et des vieillards se sont produits ces derniers temps. En conséquence, je vous demandais quelles dispositions vous comptiez prendre afin que cesse dans les plus brefs délais cette insécurité et que soit correctement assuré ce service public.
    M. le président. La parole est à M. le ministre.
    M. Christian Bonnet, ministre de l’intérieur. Je pourrais, certes, répondre à M. Lefort que la population de Saint-Ouen a diminué de quelque 10 p. 100 entre 1968 et 1975 — je ne le ferai pas —alors qu’elle s’est accrue dans d’autres communes.
    En ce qui concerne la circonscription de police de Saint-Ouen, elle dispose à l’heure actuelle de deux officiers, quinze gradés et quatre-vingt-six gardiens, ce qui, à quelques unités près, correspond à l’effectif de 1976.
    En ce qui concerne le service de la sûreté urbaine, celui-ci a bénéficié de l’affectation de deux inspecteurs stagiaires le 1er juin dernier, ce qui porte à douze l’effectif des personnels de cette catégorie.
    Saint-Ouen supporte ainsi sans difficulté la comparaison avec les circonscriptions de police de même importance démographique.
    En ce qui concerne les auxiliaires féminines, il est exact que la situation n’a pas évolué depuis quelques années. On compte, pour trente points d’école, cinq auxiliaires en 1977. Sur ce point, que j’ai tenu à évoquer dans un souci d’objectivité, monsieur le sénateur, aux obstacles d’ordre budgétaire s’ajoute la difficulté de trouver des candidates pour cette ville.
    Deux autres points méritent encore d’être soulignés. Depuis 1971, il a été créé à l’échelon départemental des services spécialisés — brigade anti-criminalité, brigade des mineurs notamment — dont l’action, par conséquent plus efficace, profite à l’ensemble des circonscriptions de police du département et donc à celle de Saint-Ouen parmi d’autres.
    C’est ainsi que l’action des services de police de Saint-Ouen se trouve régulièrement renforcée par la présence permanente en semaine de fonctionnaires de la compagnie départementale de la circulation. Cela peut paraître anecdotique, mais •cela ne vous sera pas indifférent : les samedis, dimanches et lundis, l’action des services de police de Saint-Ouen est renforcée par des gradés et gardiens qui assurent la surveillance du marché aux puces. Les autres services départementaux : patrouilles légères de sécurité, brigade anti-criminalité, brigade motocycliste exercent également sur le territoire de cette commune.
    J’ajoute enfin qu’à l’occasion de la sortie de chaque promotion de l’école d’élèves gardiens, un examen d’ensemble des besoins en effectifs est effectué et les besoins particuliers de la circonscription de Saint-Ouen seront bien entendu réexaminés lors de la prochaine affectation des élèves appelés à quitter en août prochain l’école où ils terminent leurs études.
    M. le président. La parole est à M. Lefort.
    M. Fernand Lefort. Votre réponse, monsieur le ministre, semble satisfaisante, mais vous me permettrez de la prolonger par ce que votre pudeur de ministre de l’intérieur vous empêche de dire.
    Certes, il y a des forces de l’ordre à Saint-Ouen, il y en a beaucoup, il y en a même énormément : ce sont les C.R.S. placés en permanence devant Le Parisien libéré.
    En revanche, dans le reste de la ville, les représentants de la police se font de plus en plus rares et la sécurité des habitants est de plus en plus perturbée.
    Il est un fait que dans de nombreuses villes, et Saint-Ouen n’y échappe pas, on constate des actes de vandalisme. Des effractions, des vols sont pratiqués la nuit dans des bâtiments communaux, dans des écoles. Des logements, des sous-sols, des parkings sont « visités » ; les habitants et les propriétaires de voitures dévalisées se sentent dans l’insécurité la plus complète.
    Les piétons sont victimes d’accidents sur les passages cloutés et, parmi eux, des enfants se rendant à l’école. Ces accidents se sont multipliés ces temps derniers.
    On constate aussi des accidents d’un genre particulier. Par exemple lundi dernier, peu avant minuit, c’est une bombe, de fabrication artisanale peut-être, qui a explosé à la porte d’une entreprise de la ville, causant des dégâts à un logement de gardiens.
    Nous savons que le grand patronat, et en l’occurrence il s’agit de l’usine Alsthom-C.G.E., n’en est pas à une provocation – près. On sait où ont mené les actes de violence du groupe patronat à Reims !
    Le climat d’insécurité qui règne dans certaines villes au moment où la crise économique et sociale se développe ne peut durer. Nous pensons que les braves gens doivent être protégés, que les enfants doivent pouvoir se rendre à l’école sans risque d’accident. Or il est un fait que Saint-Ouen — et vous l’avez évoqué — trois jours par semaine, reçoit de 50 000 à 60 000 personnes qui se rendent au marché aux puces — qui, je le dischange évidemment les données démographiques que vous avez évoquées.
    C’est un fait que, dans cette ville, la circulation est intense. Des dispositions doivent être prises pour la faciliter. Malheureusement, par exemple, lorsque des gendarmes sont mutés dans d’autres villes — je sais que cela ne vous intéresse pas directement, mais la police constitue un tout — ils ne sont pas remplacés. Dans la police, les femmes contractuelles qui rendent de grands services aux sorties des écoles et qui sont très appréciées des parents, démissionnent du fait de l’insuffisance de leur traitement et de leurs mauvaises condition d’emploi
    et de travail. Elles démissionnent, mais elles ne sont pas remplacées, alors qu’elles s’occupaient énormément de la sécurité des enfants et des personnes âgées.
    En règle générale, donc, du fait des nombreuses activités de la ville, les effectifs de police sont insuffisants. Monsieur le ministre, il est grand temps que dans ma ville, comme dans toutes les autres villes, la sécurité véritable de la population soit assurée.

    M. Christian Bonnet, ministre de l’intérieur. Je demande la parole.

    M. le président. La parole est à M. le ministre.

    M. Christian Bonnet, ministre de l’intérieur. Je ne saurai qu’être d’accord sur la conclusion de M. Lefort. Mais ce qu’il a dit concernant les forces de sécurité qui sont affectées à la protection du Parisien libéré appelle une réponse de ma part. J’assume l’entière responsabilité de cette affaire et, au demeurant, l’opinion publique sait fort bien de quels manquements aux lois de la République les intéressés se sont rendus coupables à de nombreuses reprises.

    M. Fernand Lefort. Le premier manquement vient du patron du Parisien libéré.

    M. Christian Bonnet, ministre de l’intérieur. Le premier manquement, c’est l’atteinte à (a liberté du travail, monsieur Lefort.

    Mme Catherine Lagatu. Le Parisien libéré a été condamné par le tribunal administratif.
    «
    Source : http://www.senat.fr/comptes-rendus-seances/5eme/pdf/1977/06/s19770617_1433_1480.pdf

  9. Oh vos romans sont imbuvables….Allez donc écrire dans le monde diplo
    Les raisons de la hausse de la délinquance a St Ouen (autres que toutes les raisons sociales que l’on connait):
    Service de jeunesse incompétent
    Parti communiste à coté de la plaque sur la formation politique des jeunes issues de l’immigration.
    Absence de vision des acteurs de gauche pour la jeunesse marginalisée.

    C’est trop facile de se cacher derrière l’absence de police qui est certes un problème, mais le problème crucial est que la ville ne les a pas accompagner. On peut donc être communiste et avoir des méthodes libérales… La main invisible existerait elle également pour gérer la vie des jeunes des quartiers populaires…

  10. pour le reste : je ne reviens pas sur les raisons pour lesquelles Arago est le centre des actions…
    Tout est politique demandez donc aux apparatchiks du pc ce qu’ils en pensent….

  11. Au moment où se tient le salon Milipol, il est réconfortant que ceux qui indigné se révoltent ne baissent pas la garde.

    Ainsi, l’Amicale C.N.L des locataires Pasteur/E. Zola agit ainsi :

    “Crions tous notre ras le bol et rejoignez nous pour une marche dans Saint-Ouen afin que les pouvoirs publics agissent enfin

    Rendez-vous samedi 26 novembre sur la place de la mairie à 10h30, défendons ces slogans qui nous concernent tous :

    « tous ensemble pour un Saint-Ouen sans drogue ni violence»
    « vivre ensemble vivre bien »

    cnl-pasteur-emile-zola@hotmail.fr

  12. Post 14 françoistaquet
    Excellente initiative mon cher Colonel. Je participerai évidemment à cette marche dans Saint-Ouen, dont l’objet est de secouer les puces des pouvoirs publics. Il devient urgent, en effet, que des mesures efficaces soient prises pour débarrasser la commune de cette plaie putride qu’est la drogue.
    Je serai accompagné d’une division blindée et d’une cuisine roulante, fournie par le Coq de la Maison Blanche …

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