Vous chercher la police ? Bonne chance…

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L’enfer est souvent dans les détails. Les questions de sécurité et leur traitement ne démentent pas cette règle. Un exemple parmi beaucoup d’autres dans la ville :

Il est tard,  un peu déboussolé, vous venez de vous faire détrousser et ne savez pas où se trouve  le Commissariat de Saint-Ouen ? Dommage pour vous, il fallait être un natif de la commune. Habitants de fraîche date, salariés venus d’ailleurs et touristes s’abstenir.

Ainsi la piste du Commissariat disparaît tout prêt du but à l’angle de la rue Dieumegard. Voilà en effet des mois que le panneau indicateur ou figure « Commissariat » a été bombé avec un joli mauve par une main anonyme sans susciter la moindre réaction de la mairie.

Visiblement assez déçus, nos malfaisants ont remis le couvert il y a plusieurs semaines en inscrivant en sur impression le slogan poétique « Nike la police ». Au cas où nous n’aurions pas compris le message.

Calme plat… A priori le problème devrait disparaître de lui-même avec… le panneau.

Une broutille ? Un problème nécessitant de réunir le Conseil  local  de Sécurité ?

Petite incivilité et grand laxisme : plutôt symbolique !

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21 réflexions sur « Vous chercher la police ? Bonne chance… »

  1. Incendie du parking Jaurès-Cipriani -Appel à témoins : « JR abandonne la pierre répondit l’écho !»

    En la circonstance, si il y a deux catégories qui doivent se frotter les mains face à l’incurie de l’OP et de la mairie, ce sont bien les marchands de vidéo surveillance et les « majors compagnie» spécialisées dans la gestion des parkings et autres stationnements.

    Dans le parking Cipriani-Jaurès, il y a eu plusieurs départs de feu.

    Les conséquences sont désastreuses à plusieurs titres : d’abord pour les victimes physiques et les dégâts matériels et financiers,

    ensuite parce que les occupations de dealers et autres trafics, sans parler des barbecues, étaient connues et dénoncées auprès de l’OP (M. Le Ny, président) et la mairie (Mme JR, maire).

    On peut apercevoir rue Cipriani les traces de fumée et des dépôts.

    Quel avenir offre l’OP HLM?

    Dans une affichette datée du 16, l’Ophlm annonce que suite aux incendies à répétition « nous allons procéder à la fermeture du parking» . Des locataires soupçonnent l’office de vouloir murer le tout.

    Dans sa lettre datée du 17, les résidents ont reçu une lettre de la municipalité (mais les Verts n’étaient pas au courant) mais pas les riverains qui nous livre qu’elle est « gravement préoccupée par ces faits» et annonce qu’en étroite concertation avec les locataires, “l’OPHLM et elle-même réflèchissent sur l’amènagement et la sécurité à long terme de la résidence.”

    On croit rêver : une partie de la campagne des municipales à porter sur la sécurité et les responsabilités de la commune, et donc du maire.

    JR n’a jamais voulu faire de bilan mais a dépensé beaucoup d’argent pour mener une campagne de pub débouchant sur ces 101 propositions…

    A Bobigny, il existe une Sem, société d’économie mixte chargée de la gestion des parkings et cela marche sans devoir engraisser un quelconque “Vinci”.

    Si le privé peut le faire, le public le peut.

    Et, s’il y a des bénéfs à faire, qu’ils soient réinjectés dans la sécurisation des parkings et la tranquillité des audoniens.

    Rassurez vous, une réunion est prévue, où on se sais pas, mais faut bien calmer les minquiets et les mécontents.

    Pendant ce temps, rue Cipriani, ce sont les PV, les enlèvements de bagnoles…

    Et la belle et grande police municipale pour laquelle JR dépense des millions d’euros (en locaux et véhicues) que fait-elle ?

    Notre PM défile en tête “tous gyrophares flamboyants” du petit train lors de la fête de la ville et pourquoi pas en char Leclerc ?!

    Et dire que le comité local de Sécurité concocté à quelques uns est réuni en “petit” comité. Imaginez le face à tous les plaignants et les victimes…

    En attendant, la police nationale en la personne de l’OPJ Joël Clabault , brigadier – 01.41.66.27.55 fax 0.14.66.27.30 @ (désolé mais la police de saint-Ouen ne connaît pas) attend vos témoignages, indices, révélations.

    Certes on pourrait lui suggérer de se rapprocher du 17 ou du 01.41.66.27.00 (numéro du commissariat, rue Dieumegrad) pour faire le point de tous les appels d’audoniens restés sans réponse…

    Enfin le meilleur est encore pour JR et sa “brillante “Direction de la communicaton” épaulée de ses fantastiques boîtes privées de com :
    les habitants de la rue Cipriani ont reçu une invitation à la visite du maire le 17 septembre (le lendemain de l’incendie survenue le 16/06 avec intervention des pompiers à 7h50).

    Or cette visite comme l’indiquait le beau carton d’invitation n’indiquait pas ce quartier.

    C’est fâcheux quand la com tourne le dos à la vraie vie.

  2. Il n’y a plus d’office public d’hlm. Il est devenu une structure privée dont l’objet est de générer de l’argent pour des actionnaires, qui n’ont que faire des plaintes, souvent justifiées des locataires.
    Selon un employé de l’ex office, cette situation nouvelle est consécutive à des directives européennes. Mais les locataires se moquent de l’Europe comme de leur première chemise. Ils en font tous les jours l’expérience : l’Europe est synonyme de reculs sociaux ! Alors au diable l’Europe. La France doit se retirer de l’union européenne. Les offices doivent retrouver leur vocation première, à savoir construire des logements sociaux accessibles à toutes les bourses et mieux prendre en compte les représentations des locataires.
    La petite bourgeoisie locale veut la mixité sociale. Les gens modestes ne souhaitent pas voir arriver des bobos prétentieux et dominateurs. Qu’ils restent où ils sont, n’en déplaise à monsieur Bouygues et à ses amis audoniens en poste à la Mairie. Suivez mon regard ….

  3. “L’office public d’hlm est devenu une structure privée dont l’objet est de générer de l’argent pour des actionnaires”…
    Vous vous égarez !
    Mais de quels actionnaires parlez-vous ?

  4. Tout ce qui passe dans le domaine du privé génére obligatoirement de l’argent. Il n’y a pas en effet de philantropes en la matière. Si l’office est privatisé, il perd ipso facto son caractère public et devient une société dont les membres n’ont d’autre but que de d’accumuler des profits.
    Cela me semble conforme au sens commun ..

  5. Nul ne le sait .. en tout cas, il y a anguille sous roche. A preuve la désorganisation totale des services et la fermeture à certaines heures de la journée des “Accueils” dans les cités.
    Des membres du personnel affirment même que l’office est en voie de privatisation. Si ce n’est pas le cas, il faudrait qu’on nous explique de quoi il retourne exactement. Mais là aussi, c’est l’omerta !

  6. Qui se plaint de l’absence de police à S.O.?Je viens de voir passer,rue Paul Bert,deux policiers à cheval!!!Les dealers n’ont qu’à bien se tenir,eux qui ne savent plus jouer aux billes°…
    °Avant guerre,les manifestants jetaient des billes,ce qui faisait trébucher les montures et avait dissuadé les préfets d’utiliser ce moyen de”maintien de l’ordre”.

  7. Une police montée à Saint-Ouen. Diable ! Aurait-on pris le Canada pour modèle ? Ces policiers à cheval vont-ils ramener le calme dans la cité? On peut en douter quand on connaît l’audace et la pugnacité des dealers. Les quatre jeunes gens interpellés récemment ont été aussitôt remplacés par d’autres .. et le commerce a repris de plus belle. Echec pour madame le maire et ses affidés ! Il faudra trouver autre chose. Mais n’est-il pas trop tard ?

    • “trouver autre chose” … s’est fait (ou presque) : des cameras (à titre expérimentale).
      Il faudra évidemment interdire aux dealers les capuches de sweats et de bouger pendant qu’on les filme.

  8. Hortefeux n’est pas à la fête!
    Après S.O.,il doit se rendre à Poitiers et peut-être demain à Marseille…Heureusement que Besson l’a déchargé de Calais.
    Pour affiner le look écolo du gouvernement,Sarko lui aurait demandé de faire son tour de France en vélo.Le fidèle Brice aurait refusé…”trop c’est trop”,d’autant plus qu’on apprend,ce matin,que les troupes d’élite de notre police nationale auraient”planqué”dans une forêt,en tenue camouflée,et qu’elles auraient ratée Treber(ou Trepper?)à cause d’une pluie fine.A force de s’entraîner pour intervenir en Afghanistan ou en Somalie(et d’être intoxiqués par le réchauffement d’Hulot) nos pandores modernes ne savent plus gérer cet élément climatique…
    Ceci dit que Brice se rassure.A la fin des années 50,à Jullou,nous les colons nous chantions une chanson dont je ne me souviens que du refrain:
    “mais la police toujours bien habillée
    a collé les affiches sur les carreaux cassés!”
    Comme quoi l’impuissance de cette police ne semble pas si nouvelle…

  9. Les caméras pour traquer les dealers et autres délinquants, cela n’aura pas plus d’effet qu’un cautère sur une jambe de bois ! La drogue est devenue une plaie de plus en plus difficile à soigner. La drogue c’est un Etat dans l’Etat. Les sociétés occidentales sont minées par une économie souterraine où transitent des millions d’euros ou de dollars qui vont garnir les coffre-forts de parrains de la drogue. Ces derniers se moquent éperdument de toutes les polices de la planète. Que l’on ne se berce pas d’illusions : ces gens-là bénéficient de la complicité de certains dirigeants de pays qui y trouvent leur compte.
    Il est possible de mettre hors d’état de nuire les gros bonnets de la drogue. Tout simplement parce qu’ils sont connus . Mais le veut-on vraiment ? Il est permis d’en douter.

  10. J’ai fait une erreur,Hortefeux n’ira sans doute pas à Marseille.Il y a sans doute eu une erreur de casting lundi matin,les infos parlaient des incidents de la nuit précédente,faisant suite à la victoire en foot de l’équipe d’Algérie sur la prestigieuse équipe du Rwanda.Ce ne devait pas être”politiquement correct”d’en parler car les médias n’en n’ont plus fait état!
    Alors mille excuses pour ne pas l’avoir compris…

  11. Bienvenue Madame la Commissaire.

    Cette jeune femme d’une quarantaine d’année nous arrive d’Ivry (94) pour succéder au commissaire de saint-ouen parti sur un gros district parisien.

    Mme Anouck Fourmigué, dont le grand père officiait au “36” a donc choisi “un métier au service du public, vecteur de justice, de paix d’égal accès aux droits”.

    Diplômée en Droit et en Sciences Politiques, titulaire de diplômes professionnelles de la Police Nationale, elle aurait été aussi assistante parlementaire d’une sénatrice.

    Du “lourd fin” donc pour notre bonne ville et ses “zones”.

    Une femme pour s’occuper de notre tranquillité, c’est un beau cadeau de Nöel pour les audoniens.

  12. Mon cher colonel, une femme au commissariat ! C’est le pied !
    J’aime les femmes c’est ma folie
    En elles tout est merveilleux
    Et je voudrais donner ma vie
    Pour un regard de leurs beaux yeux
    Qu’elle soient brunes, qu’elles soient blondes
    D’elles je rêve jour et nuit
    Et je n’ai qu’un désir au monde
    C’est de les aimer toujours …

  13. Il y avait un téléfilm ce soir sur France2 “interdits d’enfants”,tiré d’une histoire vraie.Quand on voit l’acharnement de la flicaille et de la malnommée “Justice” sur ce couple et leurs deux jumelles,on comprend mieux le peu de temps qui leur reste pour s’occuper de problèmes mineurs comme ceux de l’insécurité…

  14. La nouvelle commissaire de police nommée à Saint-Ouen semble en effet très motivée et avoir un bon profil pour honorer sa difficile mission.

    Néanmoins, sans une réelle volonté politique locale et nationale de lui offrir les moyens et le feu vert d’agir, pourra-t-elle réellement faire mieux que ses prédécesseurs ?
    Nous pouvons malheureusement en douter, en écoutant le témoignage livré ci-dessous par un ancien policier audonien qui s’est confié en toute transparence sur les ondes de RMC au 17/12/2012.

    http://www.youtube.com/watch?v=PwAsDbMcPXs&sns=em

    En attendant à Saint-Ouen, en cas d’urgence si vous cherchez à joindre la police mieux vaut composer le 17 que de faire le numéro public du commissariat : 01.41.66.27.00 qui la plupart du temps sonne plusieurs minutes dans le vide sans que personne ne décroche. « C’est normal, car la ligne devait être déjà occupée (sic) ! « m’a-t-on répondu récemment, en m’invitant dans la confidence à composer plutôt le 01.41.66.27.04. Ce numéro rarement divulgué serait plus rapide, m’a-t-on assuré en me flattant de ce privilège. Et à moi de répondre « Merci père Noël ! »

    Cependant alors que notre magistrale artiste, la bien nommée «Muriel Robin des bois et des Duplex » de la rue des entrepôts vient de se faire gentiment remettre devant de nombreuses caméras, une médaille médiatique mais sans mérite par Cécile Duflot, la ministre en charge de l’égalité des territoires.

    Dans son propre quartier de Saint-Ouen, de modestes femmes âgées enfermées dans la peur et la solitude de leur anonymat, elles, n’arrêtent plus de se faire arracher leur collier avec médaillon en étant agressées en plein jour par de jeunes mineurs n’ayant aucune ombre de valeurs éducatives ou morales.

    En effet, nous recensons déjà pas moins de quatre victimes de ce type sur Debain depuis cet été, du jamais vu pour ceux qui habitent ce quartier depuis plusieurs décennies.
    Et bien sûr toujours aucun dispositif de vidéosurveillance permettant d’aider à identifier les agresseurs, leur laissant ainsi tout le loisir de recommencer sans même plus se cacher.
    Du coup, rien de les arrête, ils viennent le plus souvent à deux en scooter ou à pied au-delà du périf pour chasser tranquillement et sans concession leurs victimes sur la zone librement offerte en pâture sur Debain , des femmes âgées résidentes dans le même secteur plutôt isolé pour la plupart.

    D’abord mi-juillet 2012, une première femme se fait agressée dans son hall d’immeuble, rue du Mal Leclerc, et en prime alors qu’elle se décide de porter plainte au commissariat, une semaine et demi plus tard quelque peu remise de son traumatisme. L’agent qui la reçoit, la dissuade d’enregistrer sa plainte, au prétexte que maintenant elle va bien.
    Puis, une seconde femme (épouse d’un ex-commandant de police de Saint-Ouen, un comble !) est trainée sur le trottoir de la rue des poissonniers avant d’être soulagée de son collier en échange de deux cotes cassées. Et quelques semaines plus tard les coups de boule portés à la face d’une troisième ayant juste eu la mauvaise idée de sortir sa tête avec collier au cou pour prendre l’air à sa fenêtre situé en RDC de la rue des graviers, viendra compléter le bilan 2012.

    Avec un tel bilan, de nombreux habitants du quartier, privé de leur beau sapin place de Debain ce dernier Noël, n’auraient pas vu d’un mauvais œil d’avoir un outil de vidéosurveillance en échange, pour au moins s’assurer des bons vœux de santé et de sécurité pour leur famille.

    Mais, non au lieu de cela pour ses vœux 2013, notre maire a choisi de se donner en spectacle ce soir dans un film mis en scène avec et pour elle seule diffusé sur l’ile des Vannes.

    On serait tenté d’en rire si la situation n’était pas si dramatique à Saint-Ouen.

    Et pour cause, la nouvelle année 2013 comme la fin de la précédente a plutôt mal commencé sur Debain où lundi matin 07/01/2013 vers 11h00, rue du Mal Leclerc une quatrième femme âgée s’est faite violemment retirer ses lunettes et plaquer contre un mur avant de se faire arracher son collier en pleine rue par deux jeunes mineurs aux allures de nains de jardin.
    Et malgré, les tentatives désespérées d’un témoin et de sa fille qui se sont lancés à la poursuite des deux agresseurs , ceux-ci réussirent facilement à fuir en s’éparpillant autour de la place de Debain, sans être inquiétés.

    Certes, eux n’ont visiblement toujours pas été inquiétés. Mais que dire des membres de la famille de cette pauvre femme qui au lendemain de son agression, a été victime, en contre coup, d’une nouvelle attaque mais cardiaque cette fois ayant nécessité son admission d’urgence à l’hôpital où elle séjourne toujours actuellement en soin intensif.

    En résumé, tout cela donne le sentiment amer d’assister impuissant à un véritable carnage digne du pillage des défenses d’ivoire arrachées à des éléphants perpétré par une bande de sauvages dans une réserve africaine. Sauf que là, nous sommes logiquement à Saint-Ouen et que ces femmes âgées symbolisant également la mémoire n’ont aucune défense ni le poids d’un éléphant à part hurler leur détresse pour lutter contre de tels sauvages immatures et sans scrupule prêts à tout pour les dépouiller.

    Seul signe d’espoir, aux dernières nouvelles, la police, s’étant décidée de regrouper ces quatre affaires pour les convier à une même équipe d’enquêteurs, serait en train de collecter les images enregistrées par les vidéosurveillances installées aux portes de Paris (porte des poissonniers, Clignancourt et du réseau Sncf de la rue des poissonniers…) pour tenter d’identifier les suspects. Faute de pouvoir exploiter celles que notre maire ne veut toujours pas installer dans les quartiers sensibles de Saint-Ouen.

    Et bien sûr pendant ce temps, il est toujours facile pour notre maire de faire mauvaise fortune, bon cœur lorsqu’un chauffeur la raccompagne tous les soirs pour dormir tranquillement dans un duplex de 91,60 M2 à 480.000€ livré sur commande à un ami artiste promoteur.
    A ce prix, on comprend bien qu’on peut faire preuve de beaucoup de Tolérances, sans souhaiter être trop dérangé par une caméra indiscrète (comme celle de Canal+, par exemple) susceptible de nuire au confort de ses affaires privées publiquement protégée derrière une belle façade bien entretenue, toujours soigneusement verrouillée de l’intérieur.

    Donc en attendant, même si notre maire se ferme toujours à écouter les vœux de ses administrés pour imposer les siens sans risque pour elle, souhaitons-lui tout de même les nôtres et lui disant :
    « Merci Madame le Maire et surtout conservez bien votre médaille autour du cou sous votre écharpe tricolore qui vous protège encore des mauvais coups.
    Votre voisinage continuera à veiller sur vous. Faites-lui confiance même si lui n’en a plus du tout pour vous ! »

  15. Merci Bruno pour ce témoignage de policier qui ne fait que confirmer ce que chacun peut voir de visu depuis tant d’années.Ceci dit avant d’essayer de mettre en place des moyens techniques tels que la vidéo-surveillance,il faudrait s’assurer de la volonté politique de chacun dans un débat où chacun pourrait faire ses propositions.Comment concilier le désir d’en finir avec l’insécurité que génère ce trafic avec la solidarité des familles défavorisées avec les victimes de la répression faisant suite à la lutte contre ces mêmes trafics?Mobilisation à Boulogne-Billancourt sous l’égide du FdG dont le chantre sur ce blog dénonce le laxisme de sa camarade JR.De la même manière le proprio de ce blog traite de “parano” celui qui dénonce depuis longtemps l’hypocrisie de nos gouvernants sur la question et que le policier interviewé explique par la volonté politique d’assurer une certaine paix sociale.Si UMP,PS,PC,FdG…etc…pensent que les dealers, pour le besoin de leur trafic,assurent mieux que la police nationale la sécurité,il faut qu’ils le disent clairement et que les citoyens puissent en débattre en toute clarté et voter en toute conscience.
    Ceci dit pour les agressions du quartier Debain même reconnus par vidéo-surveillance est-ce que ça servira de preuve?car encore une fois s’il n’y a pas la volonté politique qu’illustre si bien votre histoire du vain appel téléphonique au commissariat (que chacun a pu malheureusement expérimenter à ses dépens) tout sera inutile.Voilà pourquoi ces problèmes comme d’autres doivent être débattus par les citoyens qui en se domaine comme d’autres ne doivent pas s’en remettre à un sauveur suprême,fussent-ils aussi talentueux que Sarkozy,Valls,Mélenchon ou Le Pen…

  16. this morning, donc ce matin, peu avant midi deux jeunes “” se promenant “à l’entrepôt rue des rosiers ( presque face à la boulangerie), allée bordée de stands de brocante, on repéré une marchande anglaise qui était assise porte fermée dans son camion avec son sac sur les genoux,tandis que son mari commerçait à deux pas, ont ouvert la porte non pas pour lui présenter leurs voeux semble t-il mais bien pour
    lui arracher son sac. Cette dernière se défendant comme elle le pouvait s’est vu frapper sur les mains avec vigueur afin qu’elle le lâche ; ce qu’elle a fini par faire, se mettant à crier tandis que les deux mecs partant en courant de belle manière , passant devant le stand où j’étais avec deux marchands sans qu’on ait le temps de comprendre.
    Une minute après, tandis que le mari de la marchande était parti en direction des fuyards , un groupe d’une bonne quinzaine de policiers remontaient en uniforme la rue sus nommée !!
    Serait ce l’effet de la nomination de la nouvelle commissaire… Toujours est-il que , tatata, moins d’une dizaine de minutes plus tard, l’anglais revenait avec un inspecteur et nous annonçait que les deux jeunes ( mineurs) avaient été appréhendés, dans le gymnase sous planète Z , avec le sac et l’argent contenu.
    En fait pur hasard de programmation, policiers réticents tout d’abord à se détourner de leur mission d’origine ( visite du quartier des puces pour les nouvelles équipes?) , toutefois bien venu pour les deux britanniques qui retrouvent leur bien et le sourire pour le mari. La femme en revanche assez traumatisée portera plainte au commissariat dans la foulée.

  17. Avec la vidéo décidée par JR, le préfet Lambert va pouvoir continuer à ne pas donner à saint-ouen les effectifs policiers nécessaires à sa situation.

    Preuve en est, les 17 véhicules de police avec motards déployés cette semaine à Garibaldi pour empêcher les ouvriers de PSA de rencontrer leur homologue de Saint-Ouen, rue Farcot.

    Las, les salariés, connaissant mieux l’entreprise que les patrons, ils ont réussi à rentrer dans l’usine et prendre langue avec les salariés du site.

    Prochaine action mardi au marché Ottino.

    Du côté des dealeurs, la neige et le froid ont souffert du froid et offert un peu de répit aux honnêtes citoyens. Vive la neige.

    Pendant ce temps là, la police municipale si forte pour les PV n’a pas été mobilisée pour distribuer l’arrête municipal que JR a oublié de prendre pour rappeler l’obligation de déneigement devant son commerce, son entreprise, son pavillon…

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