Le grand Pari(s) s’expose…

Pour en savoir plus :  le dossier de presse de la consultation voulue par le Président de la République (en cliquant sur le lien ci-après). Orientations, consultation et 10 projets lauréats visibles à l’exposition au Palais de Chaillot jusqu’au 22 novembre 2009.

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9 réflexions sur « Le grand Pari(s) s’expose… »

  1. Les rencontres continuent :

    Avant celle organisée le 21 octobre à la Région de 17h30 à 20h30 par le groupe communiste alternative citoyenne républicain et parti de gauche,

    avant la viste du pole citoyen le jeudi 22 à 18h de l’expo grand paris suivi d’un échange avec paul chemetov,

    voici une info péchée sur le blog de pierre Mansat (élu pcf de la paris) pour nos amis du PS et de l’UMP qui nombreux à fréquenter ce blog…

    “Une interview publiée de Pernes, élu UMP du 93 et pdt de l’association des maires d’ile de france) dans première Heure”

    Comment avez-vous vécu les dernières étapes du débat sur le Grand Paris

    Nous avons vécu ses dernières semaines d’une manière un peu compliquée, car Christian Blanc est venu parler devant les élus de Paris Métropole, j’ai réuni le conseil d’administration de l’AMIF etc ..

    Et nous nous sommes aperçus qu’il y a eu de la friction dans l’air entre François Fillon et Christian Blanc sur le texte du projet de loi proposé au Conseil des ministres.

    Sans compter que nous avons découvert que le Secrétaire d’Etat au développement de la Région présentait un texte sur lequel il n’avait pas suffisamment travaillé avec les maires, mais plutôt tout seul de son côté.

    Ce qui a suscité beaucoup de critiques, et les modifications apportées par le Premier Ministre, afin de revenir sur plusieurs points qui dessaisissaient complètement les maires de leur pouvoir d’aménagement dans leur ville.

    Quelles étaient les critiques ?

    « Je me souviens avoir travaillé sur le SDRIF depuis les débuts de sa révision, avec la Région, puis d’avoir assisté après l’élection du nouveau Président de la République à une remise en cause de ses objectifs car il souhaitait que l’on aille plus loin en matière de transports, de logements, et de développement économique … et en nommant un secrétaire d’Etat qui devait travailler sur des propositions, mais sans trop de concertation notamment avec la Région dont s’est plaint Jean Paul Huchon, et avec les maires, où cela s’est moins bien passé parce que beaucoup voulaient faire entendre leur voix et surtout bien montrer que le Grand Paris est avant tout une affaire des maires.

    Nous avons réussi à faire en sorte d’être entendu et obtenir certaines choses qui conviennent : droit de préemption subsidiaire sur les ZAD, contrat de développement….

    Enfin, nous avons demandé que le Grand Paris fasse l’objet d’un grand débat au congrés de l’AMF…. où les maires diront que « nous aussi, nous voulons être interrogé, écouté, et pouvoir proposer »……

    P.H. – Est-ce que cette querelle droite-gauche concernant Paris Métropole n’a pas joué contre les maires ?

    C.P. : « On sait bien que l’origine de Paris Métropole revient à Bertrand Delanoë. Mais Jean Paul Huchon n’en voulait pas !

    Et puis brusquement cela s’est fait, le président de la République parlant même d’une « agora » du Grand Paris.

    Mais il n’y a jamais eu au sein de cette structure qui regroupe 100 maires sur 1281 en IDF, ce que j’ai au sein de l’AMIF, l’équilibre entre les maires de gauche et de droite.

    Malgré des discussions pour que chaque maire adhère, Paris Métropole regroupe 95% maires de gauche. Et cela n’est pas passé !

    P.H. – N’êtes-vous tenté de reprendre un peu la main avec l’AMIF ?

    C.P. : « Je suis de ceux qui militent pour essayer de trouver un terrain d’accord entre un président de la République de droite, avec un secrétaire d’Etat, une région et une capitale de gauche, 2 départements de droite et 6 de gauche.

    Et qui disent systématiquement : Nous avons 1281 maires en IDF dont beaucoup se réunissent régulièrement pour débattre et échanger sur des sujets qui les concernent (réforme territoriale, taxe professionnelle qui va faire perdre 60 à 66% de ressources fiscales aux communes …) en respectant la parité gauche-droite.

    C’est la raison pour laquelle je clame que nous pouvons parler et échanger, que nos habitants le demandent, car ils veulent savoir ce que l’on va faire dans leurs communes.

    Et nous l’avons vu lorsque l’AMIF a organisé sa réunion avec les 10 architectes sur le Grand Pari (s) qui a attiré plus de 600 élus de gauche comme de droite.

    Et l’AMIF a moins de moyens que Paris Métropole. Et l’AMIF est prêt à suivre le Président et le gouvernement pour agir rapidement en IDF pour le Grand Paris, mais à la condition d’écouter les maires qui vivent avec leurs habitants ! Utilisez-nous ! ”

    Attention, les derniers propos n’engagent pas JR!!!

  2. Les architectes sont éternels …. ils ont rayé le mot “retraite” de leur vocabulaire et leurs oeuvres traversent les épreuves du temps ! Chemetov a déjà marqué Saint-Ouen de son empreinte … et on fait encore appel à lui .. que va-t-il édifier ou transformer cette fois ?

  3. Chemeto faisant son retour à SO, voici écho proposé par max staat d’une réunion tenue dans le 94.

    Ayant survolé l’expo du trocadéro sur le Grand Paris, j’ai été particulièrement agacé pas les préétablis et les formules pompeuses du guide.

    Il se confirme que si les gens n’interviennnent pas, nous aurons un aménagement à la sauce Medef matinée “Europe de la concurrence libre et non faussée”

    Les élus de tous niveaux doivent y contribuer.

    Info :

    “Le forum du Front de gauche sur la réforme des collectivités locales et l’avenir de la métropole s’est voulu dénonciateur et force de propositions pour une véritable alternative.

    « J’appelle à l’insurrection populaire pour construire un vrai Grand Paris », affirmait l’architecte Paul Chemetov, mardi soir à Ivry (Val-de-Marne) lors du forum organisé par le Front de gauche.

    Au menu : les projets de réformes des collectivités territoriales et l’avenir de la métropole francilienne.

    L’architecte interpellait alors sur l’un des enjeux du débat les trois cents participants et les forces de gauche présentes (le PCF, le Parti de gauche, la Gauche unitaire, le MRC, le PS).

    Interpellation justifiée, comme soulignait Christian Favier, président (PCF) du conseil général, car « la vision présidentielle de la métropole, c’est celle d’une place boursière mondiale, une ville d’apparat, auréolée de grandes réalisations architecturales ou de clusters spécialisés, au détriment des populations et des équilibres régionaux ».

    Pour Pascal Joly, de la CGT, « en nommant, pour la première fois, un secrétaire d’État pour la région capitale, Christian Blanc, le gouvernement témoigne de sa détermination ».

    La discussion démontre combien ce projet, avec un métro qui relie les seuls pôles de développement, la Société du Grand Paris, qui aura les pouvoirs de régler en lieu et place des élus locaux les aménagements urbains sur de larges territoires autour des gares du futur métro, favorisera la spéculation foncière et ne répondra en rien aux besoins des populations. Sandrine Mazetier, députée socialiste de Paris, appelle « à ne pas être sur la défensive », et interpelle elle aussi : « Sommes-nous tous d’accord pour densifier les zones urbaines ? »

    Ce à quoi Paul Chemetov répond « oui ». Selon lui, « la vie quotidienne, et notamment l’emploi, ne doit pas être à plus d’une demi-heure de chez soi » avec tout ce que cela inclut du point de vue du maillage des transports, la construction de logements, de la création d’emplois, du développement des services publics.

    Un autre moment fort du débat fut celui sur la réforme des collectivités territoriales, et en particulier l’intervention de l’ancien ministre communiste de la Fonction publique, Anicet Le Pors.

    Celui-ci dénonce la stratégie de Nicolas Sarkozy qui vise « à détruire un système historiquement fondé avec les communes, les départements et la nation » pour imposer sa vision ultralibérale de la société. “

  4. “L’insurrection populaire”?rien que ça?Ce Chemetov,il va finir par faire trembler la bourgeoisie.D’ici que certains filent planquer leur fric en Suisse….
    Et tous ces appels incendiaires,relayés par certains,pour occuper des places de marché avantageuses pour son cabinet.La Mairie de S.O. ne lui suffit pas!Que va pouvoir dire R.Castro pour ne pas rester derrière?D’ici qu’il retrouve ses accents maoïstes de 68.
    Les franciliens,tous ces gens,s’en foutent.Ce qui compte,c’est d’obtenir le maximum de l’énorme somme que Sarko a décidé d’y investir.Il ne faudrait pas qu’un projet d’amélioration des transports en accapare trop.Alors,bonnes gens,c’est la crise:”insurgez-vous”pour sauvegarder les profits des architectes qui vivent dans le quartier des Halles,à proximité de leur lieu de travail.Et surtout n’imaginez pas qu’ils reverseraient,sous forme de dons ou de pubs,aux partis et institutions qui les feraient travailler!

  5. Voici une contribution d’un candidat aux régionales :

    “Patrick Braouezec, député PCF de Seine-Saint-Denis
    “On ne dit pas non au Grand Paris”
    LE MONDE | 23.11.09 | 14h11

    Député PCF de Seine-Saint-Denis, Patrick Braouezec préside la communauté d’agglomération de Plaine Commune, qui regroupe Saint-Denis et sept autres communes.
    Le métro automatique prévu par Christian Blanc mettrait l’aéroport de Roissy et la Défense à dix minutes de Saint-Denis d’où partiraient des TGV pour Londres ou Amsterdam. Pouviez-vous espérer mieux ?

    Je dis chiche, bien sûr ! Nous sommes très contents que d’autres que nous considèrent enfin que la Seine-Saint-Denis est un territoire porteur et structurant pour toute l’Ile-de-France. La nouvelle desserte aura un effet positif sur l’urbanisation de la zone. Nous avons beaucoup de friches industrielles autour de la station Carrefour Pleyel, située sur la ligne 13 du métro. La gare du métro automatique prévue à cet endroit, interconnectée avec le TGV devrait valoriser ces terrains.

    Des investisseurs pourraient trouver intéressant de financer la couverture des voies ferrées SNCF qui coûte très cher. Le projet Blanc va renforcer nos atouts économiques. Il va rendre plus lisible au plan international ce qui existe déjà autour des métiers de l’image, des jeux vidéo, dont la Cité du cinéma de Luc Besson, qui doit ouvrir en 2012. On ne dit donc pas non au projet Blanc. Mais nous sommes extrêmement critiques et vigilants vis- à-vis des risques qu’il comporte : l’hyperspécialisation de notre territoire, la logique de développement purement économique et la coupure avec le reste du territoire au nord.

    Comment éviter ces trois risques ?

    Quand M. Blanc se concentre uniquement sur la gare d’interconnexion du Carrefour Pleyel, nous lui demandons des assurances pour que soient aussi terminés la voie ferrée qui va d’Epinay au Bourget et le tram qui reliera Paris à l’université de Villetaneuse. Nous veillons aussi à ce que s’installent des sièges sociaux d’entreprises extérieures au cinéma.

    Si le projet de loi sur le Grand Paris ne prévoit plus l’intervention autoritaire de l’Etat sur les territoires mais un copilotage avec les élus, je pense que nous y sommes pour quelque chose. Mais il y a encore, dans ce texte, beaucoup d’ambiguïtés que nous allons combattre. Il ne s’agit surtout pas de faire des “Défense” partout en Ile-de-France. ”

    Propos recueillis par Béatrice Jérôme

  6. Lors de la deuxième réunion sur la Place de la République, mardi soir à la Maison des Projets,

    l’architecte Chemetov a dit que c’était une chose extraordinaire que l’aménagement des Docks à l’image de ce qui pouvait se passer dans le quartier des Batignolles àParis.

    Nous lui en donnons volontier acte.

    Nous ne pouvons que souhaiter une JR engaée dans une démarche explicative.

    Alors, peut-on espérer que Michel Bentolila, son mentor l’y aide?

    Je ne crois pas en la chose tellement ses préoccupations me semblent d’un autre ordre.

    Aura-t-elle la main verte qui fait que l’arbrisseau se dégage de son tuteur pour devenir un vrai arbre et par la même contribuer à produire une belle forêt?

    En d’autres termes, quel avenir pour un vrai Front de gauche faisant une juste place aux forces politiques locales : communistes, écologistes, citoyennes ?

    Il y va de l’avenir de notre bonne ville et de son destin, dans la lignée, certes imparfaite, de Fernand et de Paulette.

    Parceque saint-ouen le vaut bien

    En attendant, séquence info :

    “Les élus locaux ne gagneront pas la bataille du Grand Paris
    Par Matthieu Deprieck, publié le 24/11/2009 à 15:45 – mis à jour le 24/11/2009 à 18:38

    L’opposition des collectivités locales à la réforme territoriale et à la taxe professionnelle a trouvé un large écho dans la société.

    Celle au Grand Paris reste confidentielle.

    L’examen du projet de loi par l’Assemblée Nationale, qui débute ce mardi, ne devrait pas changer la donne. Explications.

    Dommage qu’Alain Juppé ou Jean-Pierre Raffarin ne soient pas franciliens. Ils auraient pu filer un coup de main à Paris Métropole, groupement de collectivités d’Ile-de-France, qui réfléchit, hors des travaux gouvernementaux, à la construction du Grand Paris.

    Car, même si Paris Métropole, est aujourd’hui une structure qui compte (104 collectivités y ont adhéré), leur colère contre les travaux du secrétaire d’Etat Christian Blanc a du mal à percer dans l’opinion publique.

    Une loi contestée, mais pourquoi?
    Deux reproches sont principalement adressés au gouvernement.

    Le premier concerne le droit d’expropriation que le gouvernement possèdera sur des zones décisives pour la construction du Grand Paris.

    Une Société, créée pour l’occasion, pourra préempter des terrains réservés aux communes, dans de vastes zones autour de la quarantaine de gares prévues.

    L’opposition juge également réducteur de consacrer un projet de loi exclusivement aux transports, quand les domaines du logement ou de l’emploi sont en souffrance.

    Certes, ce chantier ne concerne “que” l’Ile-de-France, et non pas la France entière comme la réforme de la taxe pro. Mais ce sont tout de même près de 12 millions de personnes qui pourraient voir leur quotidien transformé. Un Français sur six, ce n’est pas négligeable.

    Mettons de côté l’argument d’une loi parisienne. Comment expliquer qu’un projet de loi critiqué par la gauche et une partie de la droite passe sans difficulté l’épreuve du Parlement?

    Pour les membres de Paris Métropole, la réponse est simple: le gouvernement fait preuve d’autoritarisme à l’égard des élus locaux.

    Gilles Catoire, maire PS de Clichy-la-Garenne, souhaiterait “relayer au niveau de la population cette opposition, mais le calendrier parlementaire a été fait pour ne pas nous laisser le temps de nous organiser”.

    L’échéancier imaginé par Christian Blanc est en effet serré. Ce jeudi, les députés devraient avoir fini l’examen du projet de loi, et les sénateurs se pencheront sur le texte avant les régionales, certainement en février.

    Mireille Ferri, vice-présidente Verts du conseil régional, ne paraît pas surprise: “Généralement, Nicolas Sarkozy prononce des discours d’apaisement, puis dans la foulée, on constate un raidissement des positions. De notre côté, on se lance dans des débats, qui font monter les idées, mais les amendements ne sont finalement pas retenus.”

    “Vous savez, il y en a plein des lois qui restent inappliquées.”

    En commission, les amendements proposés au projet de loi Grand Paris ont effectivement été, pour la plupart, repoussés. Le texte a été peu modifié.

    Jean-Yves Le Bouillonnec, député-maire PS de Cachan et président de Paris Métropole, note ainsi: “Le principe d’étanchéité entre les financements du projet de métro automatique de Christian Blanc et ceux nécessaires à la rénovation du réseau existant ne figure pas dans la nouvelle version de la loi.

    Nous en sommes restés à un engagement de Christian Blanc”. Un tel principe peut paraître anecdotique, sauf qu’en cas de non-financement intégral du projet Blanc, les élus de Paris Métropole veulent être sûrs que les travaux de rénovation seront bien assurés.

    Pas d’urgence

    Ce mardi, le président de l’Assemblée nationale, Bernard Accoyer, et le patron des députés UMP, Jean-François Copé, ont demandé que le gouvernement lève “l’urgence” -une seule lecture par assemblée- sur l’examen du projet de loi sur le Grand Paris.

    Après la réunion du groupe UMP, Copé a par ailleurs annoncé qu’il pilotera, avec Xavier Bertrand, un groupe de travail chargé de préparer les prochains congrès des maires. Il s’agira d’éviter en 2010 et 2011 que des membres du gouvernement soient sifflés par les élus locaux.

    A entendre les voix de droite comme de gauche de Paris Métropole, on se demande s’il n’y a finalement pas de la résignation dans l’air, si la bataille contre les desseins de l’Etat n’est pas perdue d’avance.

    “La réforme de la taxe pro a finalement été adoptée. Et le texte n’exprime pas la vision de la majorité parlementaire”, explique Jean-Yves Le Bouillonnec. “Il y a un rapport de force entre l’exécutif et le parlementaire. Le texte du Grand Paris connaîtra le même sort.

    Aujourd’hui, il n’y a pas d’échappatoire pour une majorité en désaccord avec l’exécutif. La seule solution, c’est le blocage. Et la majorité ne va pas bloquer un gouvernement issu de ses rangs.”

    Philippe Laurent, maire (sans étiquette) de Sceaux, et trublion de la droite dans les Hauts-de-Seine, ne partage pas ce fatalisme.

    Pour lui, qu’importe la loi, elle est de tout de façon “inopérante”. Pour mettre en place la Société du Grand Paris, chargée de préempter les terrains nécessaires à la construction des infrastructures de transport, “il faudrait énormément d’argent et de personnel. Et l’Etat n’a ni l’un, ni l’autre. Vous savez, il y en a plein des lois qui restent inappliquées.”

  7. Heureux de voir que Braouzec ne rejette plus tout le projet et qu’au contraire il veuille pouvoir l’améliorer dans l’intérêt des franciliens.
    En relisant l’historique du métro parisien,on s’aperçoit que sa réalisation fut retardée d’un demi-siècle par l’opposition entre gouvernements et conseil de Paris et que sa construction fut limitée au seul Paris intramuros car ce conseil de Paris l’emporta!

    Même si Fulgence Bienvenüe n’avait rien d’un révolutionnaire,je n’ai jamais entendu dire que les cinq partis socialistes,en 1900,s’opposèrent à l’ouverture du métro,sous prétexte qu’il était oeuvre d’un gouvernement”bourgeois”!
    Seul l’anarchiste Libertad,s’il faut en croire”les cloches de Bâle”d’Aragon,voulait la suppression des poinçonneurs(des Lilas et d’ailleurs)sous prétexte qu’ils effectuaient un travail inutile pour la société.Qu’il se rassure au Paradis des anars,il a été entendu par les administrateurs de la RATP,si prompts à favoriser la rentabilité.

  8. A lire le post 7 de Taquet,Chemetov serait-il le dernier recours pour réconcilier les membres ou ex du PCF audonien?Il semble de plus en plus présent sur le terrain.Est-ce par engagement militant ou ne serait-il pas insensible aux retombées financières que ces projets d’aménagement(docks,mairie)semblent promettre?Encore une fois,merci à Taquet de nous tenir au courant de ces diverses rencontres!

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