William Delannoy (UMP) et Albert Kalaydjian (Modem) avec leurs collègues et alliés de « gauche » (Lias Kemache) *de l’opposition municipale organisent une « grande réunion publique » ce mardi 3 février 2009 salle Barbara sur le thème « Incinérateurs, les risques sanitaires pour les populations » avec le Professeur Belpomme, Cancérologue et spécialiste de l’origine environnementale concernant les cancers.
Derrière le pluriel d’incinérateurs, il s’agit chacun l’a compris, de donner une consistance scientifique aux interrogations, voire aux oppositions, relatives aux constructions futures du projet des Docks prévues à proximité immédiate d’un incinérateur, celui de Saint-Ouen rue Ardoin, (géré par le Syctom**).
Comme cela a déjà été indiqué, derrière le panache de vapeur d’eau sortant de la haute cheminée (et souvent poussée hors de notre territoire par les vents dominants), subsiste une pollution résiduelle dans l’atmosphère dont on ne peut se satisfaire. Le respect des normes en vigueur, la relative modernité des installations et les contrôles réguliers, n’autorisent pas de s’affranchir d’une réflexion sur ces rejets dans l’environnement urbain immédiat.
En ce sens cette soirée peut être une occasion d’échanges et de débats utiles.
Il faudra évidemment que les initiateurs de cette soirée évitent d’instrumentaliser cette question pour simplement s’opposer maladroitement au projet des Docks dans son ensemble avec pour seule proposition de tout bloquer.
Une chose est certaine, la majorité et singulièrement le Maire et l’élu à l’urbanisme d’hier et d’aujourd’hui, ont eu bien tort de balayer d’un revers de manche cette question qui rencontre un certain écho dans la population et nourrit une suspicion à l’encontre des projets de constructions dans le secteur.
Au-delà, d’une information complète et précise à donner aux citoyens de la ville, il aurait évidemment fallu que la municipalité, comme certains le suggèrent depuis longtemps, organise elle-même un vrai débat pluraliste avec différents spécialistes et les acteurs concernés : élus, aménageurs, urbanistes, pôle citoyen des Docks, salariés d’Alstom, association des jardins ouvriers…etc.
Le vice-Président du Syctom Alain Rouault (ex premier adjoint de Saint-Ouen), personnalité connue et reconnue pour ses compétences et son sérieux dans ce domaine aurait pu être un interlocuteur écouté.
Faute d’une majorité de gauche ouverte et offensive, l’opposition occupe donc le terrain.
Espérons qu’elle permette d’ouvrir un débat véritable et constructif pour Saint-Ouen.
Eric PEREIRA-SILVA
* complément du trio invitant suite au commentaire ci-après qui a suivi la publication de cet article. * * Syndicat intercommunal pour le traitement des ordures ménagères, émanation des collectivités locales.
Cela vous ferait-il “mal aux seins” de citer Lias Kemache plutôt que de mettre le mot gauche entre guillemets pour nous désigner?
Comme d’ab’, on tente de flinguer et après on dit “pourvu que ça marche”! Qui tente de récuperer quoi dans l’histoire?
Droit au logement (info)
Alors que la loi Boutin organise la précarité dans le logement, quelle autre politique du logement ?
Une crise du logement d’une ampleur jamais vue ; des dizaines de milliers de SDF, plus d’un million de locataires vivant dans un habitat précaire, 1,5 million de demandeurs de logements sociaux.
Des attaques sans précédent contre le logement social
Pour 2009 le budget logement est en diminution de 7 %, avec un hold-up sur le 1 % logement de 850 millions d’euros, et une ponction sur le fond d’épargne de plus des 10 milliards d’euros. Pour des milliers des familles au travers d’un surloyer dit « dissuasif », et la chasse à la sous-occupation, cela va être dramatique.
RESTER SANS REAGIR SERAIT GRAVE DE CONSEQUENCES
Nous vous invitons à participer au Forum – Cordon,
organisé par les communistes du quartier samedi 7
En présence de :
Mme. Eliane ASSASSI, sénatrice de Seine-Saint-Denis M. François GIUNTA, élu communiste
maire adjoint au logement .
Contact : 01.40.11.31.15
Ordures, déchets… : la ville va-t-elle enfin sortir du rideau de fumée dans lequel elle s’est plongée, brouillard politique d’une gestion communale dont les stratéges de la droite locale tentent avec un certain succès d’abuser les audoniens ?
Les méninges ont semble-t-il repris le dessus chez les élus dans le débat sur les fumées de la zone des docks.
Réunion d’élus en mars,
réunion publique en avril/mai,
création d’un comité de vigilance “pluraliste”, campagne de com sans “fourre-tout,
enquête épidémiologique…
telles seraient les principales actions/réactions décidées par la Ville.
Le dossier est complexe. Mais le maire alors qu’elle possède quelques bonnes cartes (normes respectées, enjeux économiques, autre possibilité technique) avait jusqu’à présent choisi la politique de l’autruche.
c’est sans doute efficace pour les fumées mais pas durable.
En tous cas, en revenant aux fondamentaux :
– démocratie et transparence,
– rigueur scientifique préalable et partage des données,
– approche sanitaire acceptée et recentrée,
– vraie prospective sur les enjeux environnementaux et territoriaux,
– débat sans tabou sur la décroissance et l’éco-citoyenneté,
– recul nécessaire avec les pressions excercées divereses et variées de l’extérieur sur le projet d’ensemble des docks…
la municipalité pourrait s’éviter une crise majeure interne et rupture définitive avec les audoniens.
Rappelons ici une proposition de gens (qui demandaient à JR son bilan lors de la campagne des muncipales ): l’invitation faite aux audoniens et bien organisée à découvrir la nouvelle usine d’Issy les moulineaux.
De quoi faire de la prochaine Journée de l’environnement (week-end des 23 et 24 mai prochains) un véritable évènement éco-citoyen dans toute la ville : parceque saint-ouen le vaut bien!
si certain(e)s nous gonflent, d’autres nous informent…
“Les dioxines nous contaminent surtout par la voie alimentaire”
Nadine Fréry, docteur en pharmacie, spécialiste des biomarqueurs et de la biosurveillance à l’Institut nationale de veille sanitaire, en charge de l’étude que vient de publier l’INVS sur l’imprégnation des dioxines sur les populations riveraines des usines d’incinération d’ordures ménagères (UIOM).
Pourquoi l’INVS a-t-il réalisé cette étude ?
Nous avons constater des inquiétudes légitimes de la population riveraine des incinérateurs et il nous semblait important de mener une réflexion nationale sur le sujet. Avec l’Afssa (Agence française de sécurité des aliments), nous avons montons 3 groupes d’experts, afin de proposer une enquête globale sur cette question.
Tout d’abord, un premier groupe s’est chargé de faire un état des lieux, sur l’incinération, sur les rejets et proposer un protocole d’étude d’imprégnation par les dioxines et d’autres métaux. Par ailleurs, un autre groupe s’est intéressé aux effets sanitaires, comme les cancers, et enfin un troisième groupe s’est plus penché sur la problématique locale.
Il s’agit d’une des rares études sur l’imprégnation par les dioxines de cette ampleur, avec une étude taiwanaise publiée en 2006. Auparavant, les études précédentes ne s’intéressaient pas à la modélisation des panaches de dispersion des fumées, et donc des retombées, en n’obtenant leurs résultats qu’avec des cercles concentriques.
De même, pour la première fois, cette étude prend en compte la dimension alimentaire de manière très détaillée. L’objectif était de vérifier s’il y avait une sur-imprégnation des populations riveraines des UIOM, par rapport à la population non-exposée, et d’autre part s’il existait des facteurs qui pouvaient influencer cette imprégnation à proximité des incinérateurs, et notamment des aliments produits localement.
Quels sont les principaux résultats de cette étude ?
Cette étude a été réalisé auprès de 1.030 personnes âgés de 30 à 65 ans, résidantes autour de 8 incinérateurs d’ordures ménagères, qui ont été choisi à la suite d’un inventaire. Nous avons identifié 3 types d’incinérateurs selon notamment leur capacité.
Nous n’avions pas d’a priori avant de réaliser cette étude. Lorsqu’on regarde globalement les résultats, on ne constate pas de différence d’imprégnation entre les riverains d’incinérateurs et les résidants non soumis à une source connue de dioxines.
Ceci à l’exception d’une sous-population qui est celle des agriculteurs, qui consomment des produits locaux, et dans une moindre mesure chez les particuliers qui consomment des produits animaux localement, comme des produits laitiers, et des œufs.
Qu’en est il des contaminations par inhalation ?
Par ailleurs, aux vues des résultats de cette étude, l’impact de l’inhalation est négligeable sur l’imprégnation des dioxines. C’était une question soulevée par les riverains. Mais, il ne s’agit pas vraiment d’une surprise, car ces résultats viennent confirmer différents études scientifiques en la matière.
Les dioxines nous contaminent surtout par la voie alimentaire. Indépendamment de tout incinérateur, on mange de la dioxine tous les jours sans le vouloir dans les graisses animales essentiellement.
Cette sur-imprégnation des auto-consommateurs est-elle importante ?
Pour que cette imprégnation soit réellement conséquente, il faut être en présence de riverains de ces usines d’incinération qui consomment très régulièrement des produits locaux. En revanche, les consommateurs essentiellement de fruits et légumes n’ont pas d’imprégnation particulière. Cette sur-imprégnation concerne donc essentiellement les consommateurs de produits locaux d’origine animale comme le lait et les œufs.
Il y a eu un pic de pollution dans les années 70, avec notamment l’industrie du chlore, à des rejets industriels importants. Depuis une dizaine d’années, on constate une diminution régulière et très importante de la contamination des aliments, et de l’imprégnation des populations européennes.
Globalement, ces résultats sont donc plutôt rassurants ?
Il y a environ 90% de la population de notre étude qui se trouve en dessous de la moyenne européenne observée fin des années 80. Cela permet de relativiser.
Cependant, en dehors de cette imprégnation des auto-consommateurs, on a constaté que le site de Senneville-sur-Fécamp présente des taux d’imprégnation élevés, aussi bien en zone exposée que non exposée. En fait, la population locale consomme beaucoup de produits de la mer, et justement, c’est une zone du littoral où les poissons sont particulièrement contaminés.
Les niveaux constatés se trouvent dans la moyenne européenne, et évidemment très en dessous de valeurs très importants autour de la mer Baltique où l’on relève des taux d’imprégnation particulièrement forts car les poissons sont très contaminés.
Même si les résultats sont plutôt encourageants, on incite les gestionnaires locaux à rester vigilants sur la consommation des œufs issus de sites contaminés ou anciennement contaminés, autour d’anciens incinérateurs. Car si l’herbe de repousse est très vite décontaminée, ce n’est pas le cas pour les œufs. En effet, les poules picorent la terre, mangent des vers de terre, et donc continuent à se contaminer. On conseille donc de ne pas les consommer.”
Etude consultable sur le site de l’INVS
Lias khémache est intervenu en conseil.
Et voilà où nous méne la gouvernance actuelle de JR.
Elle ne voit pas que les audoniens ne sont plus les mêmes dans leurs comportements, mais aussi le nouvel état de l’opposition de gauche comme de droite (voir les municipales et la nouvelle assemblée),
et que beaucoup d’audoniens sont arrivés avec d’autres cadres de pensée depuis quelques années, et cela ne cessera pas).
Sa gestion est confondante d’inefficacité : paillettes mais faillite démocratique.
Attention pour PP à ne pas prendre prendre ce mauvais pli.
Dans une récente réunion de quartier, il a apporté des infos “nouvelles” sur un important sujet (lycée), ce à quoi JR se refuse toujours, particulièrement pour la réalisation de l’équipement sportif nécessaire aux lycéens et étudiants de blanqui).
Il a de fait montré que l’on pouvait gérer aurement la ville, ne serait-ce qu’en commençant à répondre aux interrogations des audoniens.
Comment les élus de la majorité ne voient-ils pas que ce dossier est mal emmanché et sera lourd de conséquences politiques pour SO?
c’est vrai que notre “poubelle d’or” n’aide pas.
A moins que certains attendent l’enlisement pour penser profiter de la situation.
Sur le sujet de l’intervention de LK, n’est ce pas contradictoire de pas refuser les logements pour cause d’incinérateur et accepter voire demander un grand parc en oubliant ce même incinérateur?
Sur PP et son refus de l’incinérateur dans son ancien quartier, on peut admettre que chacun porte sa croix.
Marseille a été dirigée durant des décennies par le PS et la droite qui n’ont rien fait pour gérér de façon moderne la question des ordures ménagères, des déchets, du recyclage, du controle en amont des foyers et des entreprises… alors que la ville et son agglomération grandissaient.
Gauduin, maire de droite fait la même chose aujourd’hui sur cette problématique.
En l’état des connaissances, l’incinération des OM doit être réalisée avec un ensemble d’autres dispositifs.
C’est pas tout ou rien, mais de tout ce qui est seulement nécessaire. Et il faut vite engager l’enquête épidémiologique.
Aujourd’hui, l’incinérateur existe à SO, le problème n’est donc pas d’être pour ou contre mais comment le rendre le plus acceptable pour l’environnement, la santé, le traitement des déchets… dans une chaîne économique et citoyenne durable?
En partageant l’info, en organisant les débats, en construisant des décisions et des solutions les plus modernes possibles,
en contenant les amènageurs, les promoteurs, les “spécialistes” rémunérés sur les Docks.
Pour se faire, PP doit passer à la vitesse supérieure quant à la gestion démocratique de ce dossier.
Sa Maison doît devenir celle des projets des Audoniens,
ce qui veut dire de parler aussi des questions financières de l’activité de traitement des OM, de ce que seraient les contraintes fiancières pour toutes les collectivités (territoriales, économiques et simples usagers) avec tel ou tel changement, sans esquiver la question de l’emploi.
Parceque saint-ouen le vaut bien.
Pendant des années,on nous a dit que cet incinérateur était des plus modernes,sans aucun rejet toxique,sans aucun danger pour les riverains.Devant l’intervention de l’opposition institutionnelle,plus personne ne semble avoir cette position.Les arguments défensifs sont du style:
-“les rejets du périf sont plus toxiques”;pourquoi ne pas demander sa couverture de la porte de La Chapelle à la porte de Clichy?en envisageant une occupation originale de l’espace ainsi libéré!
-“il existe…circulez,il n’y a plus rien à voir”.Non,s’il y a nocivité…il faut l’arrêter.Les ordures ménagères doivent être traitées sans rejets toxiques dans des endroits moins urbanisés.
Si, sous pretexte que quelque chose existe, on avait pas le droit d’être contre, on ne pourrait combattre le capitalisme, le stalinisme, le cancer, la guerre…et la connerie! Et bien moi, j’ose dire que l’incinérateur, c’est de la m.. qui nous tue à petit feu (sans jeu de mot). Non, je ne trouve pas contradictoire de demander un grand parc autour de l’incinérateur parce que c’est la seule chose qui peut (de ce fait) éloigner les habitations et atténuer les effets nocifs de ce truc monstrueux,et non, ce n’est pas la gouvernance actuelle de JR qui amène Lias Kemache à prendre la parole en conseil municipal, c’est simplement la démocratie, ne vous en déplaise monsieur Taquet!
Je ne sais ce que vous espèrez de PP mais n’oubliez pas ” faut pas nous prendre que pour des cons”!
Parce que notre intelligence le vaut bien
J.F
Jean je respecte ton engagement et ton enthousiasme mais sur le dernier point”la connerie”,j’ai envie de te répondre comme le Gal de Gaulle:”vaste programme,mon brave!”.Et j’ai bien peur que comme tant d’autres avant toi…tu échoues!A l’impossible,nul n’est tenu.
@ Michel
J’avoue que là, pour la connerie, j’ai vu grand!Mais bon, je suis pas tout seul…
« Un système de zéro déchet coûte moins cher »
Le Monde.fr | 29.05.2014
Joan Marc Simon, directeur de Zero Waste Europe, regrette que nombre de collectivités françaises soient « liées » à des incinérateurs, « très chers et une catastrophe pour l’environnement »
Lire le décryptage : Le système « zéro déchet » de San Francisco en 7 questions
San Francisco est très avancée dans le recyclage de ses détritus, notamment dans la collecte de déchets organiques pour en faire du compost. S’il y a bien quelques initiatives isolées, la France apparaît très en retard dans ce domaine. Pourquoi ?
Nombre de collectivités françaises ont investi dans des décharges ou des incinérateurs, qui sont très chers et qui sont une catastrophe pour l’environnement, car ils rejettent des particules très toxiques. Ces collectivités sont ensuite liées par contrat aux incinérateurs pendant vingt ou trente ans et doivent alimenter ce monstre en fournissant des déchets, sinon elles doivent payer des amendes. Cela conduit à des situations paradoxales dans lesquelles les villes ne sont pas incitées à recycler, puisque cela enlève des déchets à l’incinérateur et peut au final leur coûter plus cher !
La France compte en plus de très importantes entreprises de gestion des déchets [Veolia et Suez particulièrement]. Ils ont besoin d’appliquer leurs solutions dans le pays pour les promouvoir à l’étranger.
La suite :
http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/05/29/un-systeme-de-zero-dechet-coute-moins-cher_4421686_3244.html#xtor=AL-32280270
Entretiens croisés d’André Santini maire d’Issy Les Moulineaux et président depuis 1983 du SEDIF (Syndicat des Eaux d’IleDe France), et William Delannoy dans Syctom mag 48 2è trim 2015.
La subvention versée à la tonne passe de 0,13 Euros à 1,50 Euros avec un plancher de 50 000 Euros et un plafond de 1 000 000 d’Euros.
Soit un coefficient multiplicateur de 11,5 !
L’entretien ne dit pas qui payera ce coefficient.
Sur la base de l’incinération 541 404 tonnes en 2013 (source Syctom), cela ferait une enveloppe de 812 106 Euros pour Saint-Ouen.
Elle servirait entre autres à l’aménagement de pistes cyclables dixit W Delannoy.
en p8
http://www.syctom-paris.fr/pdf/syctommag/Syctom-mag-48.pdf
En papier en mairie ou au CCAS
En bonus la carrière de Santini
https://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9_Santini
De quoi tu te plains, JYM? Maintenant un opposant résolu à l’incinérateur, Jean Fouquart(posts 7 et 9) est dans la place!
Article de l’ARTAC du prof Belpomme venu en 2009 à St Ouen
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Incinération des déchets et cancers
Un groupe de travail national a été créé à l’initiative de l’ARTAC, le Groupe des experts scientifiques sur les dangers de l’incinération (GESDI), ayant pour rôle de définir les alternatives à l’incinération afin de lutter contre l’apparition des cancers liés à cette activité. Dans un rapport publié en février 2008, l’Institut National de Veille Sanitaire (InVS) a confirmé la très forte augmentation de l’incidence des cancers autour des incinérateurs d’ordures ménagères.
La suite
http://www.artac.info/fr/recherche/expertises/incineration/incineration-sante_000042.html#contenu_000195