Les rentiers du communisme municipal qui ont capté l’héritage de leurs aînés surfent sans complexe sur la dynamique de l’immobilier qui embrase la première courronne et Saint-ouen en particulier.
La ville bouge, les projets fleurissent. De nouveaux équipements publics voient le jour, la construction de logements sociaux se poursuit. On dépoussière côté culture, on aménage dare-dare les espaces publics, un grand parc est en ligne de mire…
Qui pourrait s’en plaindre ?
Las, un petit clan d’élus (qui vient de s’entourer de novices souvent complaisants) est seul à la manoeuvre et contrôle sans partage le dispositif municipal.
Ouverture, citoyenneté, vie associative, transparence… derrière les discours ampoulés la concentration du pouvoir est dangereuse. Elle ne peut conduire qu’à un certain nombre d’abus.
Nous y reviendrons…
Autrement dit, on apprends rien de nouveau lol
… pour l’instant !
Donc c’est une mise en cause de la politique de l’équipe d’avant dont un membre d’Id-stg faisait parti et par le nombre élevé de votes favorables sur les délibérations est co-responsable s’il y avait quelque chose à reprocher sur la légalité des actes administratifs incriminés.
@ Dadidadou
J’aime bien le « donc » de Dadidadou sous entendu au choix : « vous en étiez donc vous êtes un renégat » ou « quoi qu’il arrive vous êtes complice » …
Votre proximité avec certains (anciens) élus semble vous égarer.
Avant d’être élu – et après – je demeure pour l’utilisation du droit de préemption (avec un certains nombre de précautions). En faire un sujet tabou à Saint-Ouen il y a un pas… que vous franchissez allègrement.
Désolé je n’ai pas adhéré au parti des petits propriétaires, ni à une quelconque succursales locales de l’UMP qui fait de la préemption ou de l’expropriation son fond de commerce.
Je reste un citoyen vigilant combatif et accessoirement un professionnel de l’urbanisme.
L’idéal « politiquement » (et non « juridiquement »), si on veut utiliser ce droit pour peser légitimement sur les prix, c’est qu’il y ait au moins un accord majoritaire de gauche (objectifs, niveau de prix, type de bien, traçabilité, effets pervers…) et que quelques uns ne décident pas seul sans aucun contrôle ni garde-fous. Rien de plus, rien de moins.
Sauf erreur cela n’était pas, aux dernières nouvelles, tout à fait le cas à Saint-Ouen.
Pour l’affaire qui défraie la chronique s’il s’agit de problèmes comme vous l’indiquez « de légalité des actes administratifs » cela pourra sans doute « s’ajuster » sur le plan juridique au niveau communal pour poursuivre d’une manière ou d’une autre la lutte contre la spéculation. Les municipalités de gauche successives ont su se débrouiller même dans des contextes hostiles.
Ce que je ne comprends pas très bien c’est pourquoi ce n’est pas simplement le « contrôle de légalité » ou le « tribunal administratif » qui interviennent mais la Brigade de Répression de la Délinquance Economique (BRDE). Mais après tout je ne suis ni juriste, ni policier, ni comme vous fonctionnaire territoriale et certaines choses m’échappent.
Donc comme vous le préconisez « wait and see ! »
A bientôt
Eric PEREIRA-SILVA
Je ne suis pas un expert en matière d’administration communale. J’avais pour habitude de faire confiance aux gens élus par le suffrage universel, qui, selon moi, doivent avoir un comportement exemplaire.
Les élus communistes ont fait preuve par le passé d’une honnêteté scrupuleuse et d’un dévouement en faveur des plus défavorisés qui ne s’est jamais démenti.
Je laisse le soin à la brigade financière de faire toute la lumière sur cette affaire.
Je n’allis pas au bon endroit, je n’avais donc pas lu votre réponse.
Vous êtes bien humble et me prétez bien des compétences…..
Mon statut ne me donne pas la science infuse, je suis au moins autant au courant que vous de cette affaire, autrement dit pas grand chose.
J’ai toute confiance en nos élus passés et présents et s’il s’avère que quelqu’un a fauté et bien il payera point barre.
En aucun cas cela remettra en cause mon engagement pour un vie meilleure pour tous !!!