DOCKLANDS : enjeux

Le grand projet des Docks sera chacun la compris la grande affaire de la prochain mandat muncipal et des suivants.Parmi les thème majeurs à aborder sans tarder : l’aménagement du parc, la mise en oeuvre du  protocole d’accord avec Paris pour les logements, la conception de la partie commerciale, les équipement publics, l’articulation avec les quartiers actuels….

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27 réflexions sur « DOCKLANDS : enjeux »

  1. C’est reparti.

    le Pole citoyen des Docks est invité è  se réunir par Paul Planque, 1er adjoint au Maire chargé de l’urbanisme le mercredi 4 juin 2008 è  18h30 è  la maison des Projets au 49 rue Albert Dhalenne.

    A l’ordre du jour :
    – les orientations du Projet d’Aménagement et de développement durable (PADD)
    – Discussion sur le plan de travail du Pôle pour les prochains mois.

    C’est assurement un nouveau style personnel et professionnel qu’affiche le remplaè§ant de MB è  la tête de ces questions.

    Selon l’ancien directeur de la Sémiso, “il parait utile de reprendre le rythme de réflexion et de travail enclanché lors du dernier manadat”.

    Certes la partition est en grande partie écrite puisque le schéma directeur a été élaboré, la ZAC crèée, l’aménageur désigné et la révision du PlU engagée.

    Nous serons dans les prochains jours les résultats de la visite de la ville par le Préfet.

    Car en effet, tout est imbriqué ; amènagement, finances, création d’équipemens publics, aspirations et critiques des audoniens, poids et pression des promoteurs, rapport avec les villes limitrophes, le conseil régional et le conseil général et cohésion municipale.

    Si l’équipe municipale dispose d’une majorité confortable en séance du conseil face è  une opposition de basse intensité, il lui reste è  gagner l’adhésion voire le soutien des audoniens è  ce qui est bien au dela des docks : un vrai projet de ville.
    Et les 50,5 % du second tour des municipales restent dans bien des esprits.

    Alors, espérons que tous les membres du Pôle citoyen è  la réunion. Pour voir avant de juger l’effet PP.

  2. info sur une future et proche tribune dans le Moniteur : “Le Grand Paris, un projet qui doit être co-piloté” écrite par P. Braouezec, pdt de Plaine’ commune et député communiste.

    A paraè®tre cette semaine dans Le Moniteur mensuel dédié au secteur de la construction et du btp, de l’immobilier et du cadre de vie.

    “Comme de nombreux élus territoriaux, je veux souligner les dangers du texte de loi sur le Grand Paris qui voit lEtat mettre è  mal la décentralisation et faire fi des élus, des territoires et des populations.

    Dangereusement simplificateur par son objectif (asseoir le statut de ville-monde de la capitale franè§aise), il se limite pour lessentiel è  créer de nouveaux outils destinés è  faciliter la mise en Å“uvre rapide du schéma de transport métropolitain.

    Nous avons souvent sollicité lEtat lorsque le respect du principe dégalité, la cohésion sociale ou lampleur des projets exigeaient des réponses autres que locales.

    Mais cela ne saurait justifier une gestion autoritaire du dossier. Lefficacité nest pas synonyme de précipitation, ni de simplification.

    LEtat se doit dêtre exemplaire en matière de respect démocratique du rôle des collectivités.

    En ce sens la nouvelle «Société du Grand Paris» ne saurait dessaisir les collectivités des nouveaux projets stratégiques territoriaux (définis unilatéralement par décret du Conseil dEtat dans leur périmètre comme dans leurs orientations daménagement).

    Ce qui a été rendu public des pistes de recherche de financement travaillées par la mission Carrez renforce notre inquiétude.

    Si on rassemblait, comme cest proposé, tous les financements de transports jusquen 2025 sur un seul projet dinfrastructure, on invaliderait toute possibilité de projets complémentaires au service des populations.

    Or, le schéma de grand métro en rocade est intéressant parce quil peut constituer larchitecture rapide dun maillage complexe et inter-centres. Mais il serait facteur daggravation de léviction des plus modestes, sil devait être le seul nouvel équipement de déplacements.

    Quant aux augmentations tarifaires prévues, au lieu de rééquilibrer, elles ne feraient quaccentuer la pression financière sur les couches sociales les plus modestes, qui sont aussi les moins bien desservies, et qui, habitant loin du centre, ont la plus lourde charge en coè»t de transport.

    Aucun projet sérieux ne peut être envisagé en dehors dun ancrage territorial. Les études et travaux, en particulier ceux des dix équipes darchitectes de la consultation internationale, ont mis en évidence la complexité de toute métropole, faite de pôles et de réseaux.

    Ils ont souligné aussi lurgence, pour la métropole francilienne, de rompre par des projets novateurs, avec des inégalités territoriales aiguè«s.

    Il est urgent de trouver des modalités de partenariat innovantes associant Etat et collectivités pour un projet métropolitain partagé qui noppose pas développement économique et développement social, et ne sépare pas les territoires entre exclusion et cumul des richesses.

    A défaut, la survalorisation dun hyper centre élargi è  la petite couronne, accélérée par les mesures de la loi, rejetterait toujours plus loin les populations modestes et même moyennes.

    Changer de logique est indispensable et urgent, en premier lieu pour répondre aux exigences environnementales et sociales.

    Cela passe par plus de citoyenneté, un plus grand respect de lhumain. La solidarité et la démocratie ne sont pas seulement des principes moraux : lattractivité économique ne fait pas longtemps bon ménage avec lexclusion, et lexigence environnementale ne se conjugue bien quavec lattention aux besoins humains et lobjectif de qualité de vie.

    Il est possible de fixer des objectifs ambitieux pour la ville de laprès Kyoto, autrement que par la taxation ou des zones è  péage, dès lors que lon partage lélaboration des projets avec les territoires et les citoyens et citoyennes des villes, en partant de leurs besoins.

    Le périmètre de la métropole francilienne ne saurait se limiter è  la petite couronne.

    La notion de couronnes est dailleurs inappropriée : elle renvoie è  une seule centralité et sinscrit dans la poursuite de processus dexclusion. Le développement durable et solidaire de lIle de France ne peut sarticuler que sur un réseau de pôles de centralités urbaines. Le moment serait venu den déterminer le nombre, répartis sur toute lIle de France.

    Ce projet doit être avant tout un processus. Nous tenons, en tant que collectivités territoriales, è  y participer en partenaires de lEtat, égaux de bout en bout y compris pour la définition des orientations.

    Ce processus doit être global et non cloisonné : il ne doit pas y avoir daccords seulement bilatéraux hors des cohérences dun développement multipolaire. Il faudra donc tomber daccord sur des méthodes de travail ensemble et définir un co-pilotage avec un véritable partage du pouvoir de décision.

    Cest la meilleure faè§on de nous mettre sur la voie dune gouvernance complexe respectueuse des échelles de territoires et de la diversité.

    Patrick Braouezec

  3. Monsieur Braouzec ne fait que défendre les intérêts de féodalités locales qu’il ose envelopper de respectabilités”démocratiques”.Que propose-t-il dans ce pamphlet pour améliorer le vécu des franciliens,pour atténuer les”inégalités territoriales”et sociales?Il est évident que Sarko et son gouvernement ne cherchent pas è  faire disparaè®tre les ghettos sociaux mais comme la gauche au pouvoir(PCF,Verts,MRC,PS…)n’a rien fait et veut sous prétexte de “démocratie locale”laisser les choses en l’état,alors vaut mieux pour les franciliens que la vision internationale du Paris de Sarko se”limite pour l’essentiel è  créer de nouveaux outils destinés è  faciliter la mise en oeuvre rapide du schéma de transport métropolitain”.Les franciliens y gagneraient une amélioration de leurs déplacements pendulaires car Mr.Braouzec,ils ne disposent pas tous d’une voiture avec chauffeur!S’il est vrai qu’on veuille réaliser”cette mise en oeuvre rapide”,on pourra peut-être entreprendre le prolongement de la ligne 4 qui désenclaverait”Plaine-Commune”mais est-ce vraiment le but de ceux qui règnent jalousement sur leur fief?
    160 ans après Hausmann,l’IDF s’est transformée et que è§a plaise ou non la bourgeoisie est toujours au pouvoir(sauf durant la Commune de Paris).Alors laissons-la au moins entreprendre une amélioration(si minime soit-elle)des transports.Et si dans la foulée pour éviter la répétition des émeutes urbaines,elle améliorait les conditions de vie dans les grands ensembles…et que Blanc comme Hausmann en son temps faisait disparaè®tre les actuelles”cours des miracles”de la proche”couronne”;qui s’en plaindrait Mr.Braouzec?

  4. Le Grand paris fait couler beaucoup d’encre, avec raison.

    L’Etat sarkhosien qui nous est imposé ” ignore ostensiblement les besoins urgents des usagers comme la rénovartion des lignes RER opu le sésengorgement de la ligne 13 ” comme le souligne le maire de paris Bertrand Delanoe dans un communiqué daté du 7 octobre.

    D’autre réaction comme celle du maire de Sevran, Stéphane Gatignon et consiller général du 93sont è  connaè®tre (info)

    “GRAND PARIS : Acte I scène 3 ou 4

    Au moment ou un film, bientôt sur nos écrans, évoque les enjeux liés au développement des mégapoles urbaines dans le monde et aux risques d’inégalité, de violence, de désastre écologique liés è  leur « non-maitrise », le texte présenté aujourd’hui au Conseil des Ministres sur le « Grand Paris » est une étape et seulement une étape de la construction métropolitaine.

    La situation actuelle, depuis longtemps insupportable, est le fruit de décennies de politiques publiques, locales et nationales, qui ont creusées les inégalités fiscales, économiques et sociales entre territoires d’une même urbanité en devenir.

    Le projet de loi du secrétaire d’Etat, Christian Blanc ne règle pourtant pas les choses. Il est illusoire de croire que le développement économique pourra è  lui seul gommer inégalités et déséquilibres de toutes sortes.

    Il est clair que la construction métropolitaine ne peut se réduire è  un métro reliant des « clusters » économiques entre eux.

    La méthode de Christian Blanc est presque vieille comme Hérode. Pour être précis elle remonte è  1830 lorsqu’aux Etats pas encore Unis, on développait le chemin de fer en laissant aux constructeurs privés le soin de réaliser les gares en échange de la propriété des terrains alentours qui allaient constituer les nouvelles cités.

    Au fond, Monsieur BLANC se prend un peu pour Lucky Lucke dans l’album célèbre de Morris « Des rails sur la prairie ». Ce faisant il confond la banlieue parisienne avec le Far West.

    Une autre dimension est nécessaire au développement du Métropolitain è  la fois plus durable, plus humain et plus démocratique. Paris n’est pas Kansas City.

    La construction métropolitaine doit donc impérativement passer par la définition d’un territoire, de son mode de gouvernement et de ses attributions en terme de politiques publiques.

    Ainsi, il faut un véritable pouvoir métropolitain, adossé è  une assemblée démocratiquement élue, avec des compétences décisionnelles précises : logement et habitat, transports, aménagement du territoire, développement économique et social, développement durable avec la gestion de l’eau et des énergies…

    Il faut mettre fin aux centaines de syndicats intercommunaux, composés d’élus au second degré et de technocrates déconnectés de toute responsabilité.

    Ces syndicats doivent être dissouts au profit notamment de la gestion en régie par la représentation démocratique.

    De même, qui dit même territoire doit dire égalité devant l’impôt de l’homo-métropolitanus. Taxe foncière et taxe d’habitation doivent avoir un taux unique sur l’ensemble de la métropole.

    Le gouvernement métropolitain devant garantir une répartition équitable des ressources suivant des critères de développement humain è  définir (sociaux, d’aménagement ¦).

    Une charte doit encadrer cette nouvelle assemblée et la cohérence du projet d’aménagement métropolitain, en fixant quelques objectifs comme la lutte contre la ghéttoè¯sation et les inégalités territoriales, l’égalité d’accès aux logements, le droit de vote de tous les habitants métropolitains aux élections locales ou la création d’un conseil économique et social doté de réelles compétences…

    Ainsi, nous serons en mesure de structurer la mégapole en une véritable métropole cohérente, instrument nécessaire de lutte contre le désordre écologique, les inégalités sociales et territoriales.”

    Comme quoi, SO peut s’engorgueillir d’avoir une JR muette sur la chose …

  5. Ca semble utopique,vu le rapport de force en IDF(qui serait d’accord avec Gatignon?)mais lè  au moins il y a des propositions qui pourraient améliorer le sort des franciliens.Mais comment se faire entendre sans soulever la hargne des féodalités locales(“les centaines de syndicats intercommunaux,composés d’élus au second degré et de technocrates déconnectés de toute responsabilité”) si jalouses de leurs préogatives et qui se”foutent”des intérêts des franciliens.L’enjeu de la prolongation de la ligne 4 en est le meilleur exemple(trop rapide,trop peu cher…).
    Si l’exemple du “Far West”est parlant,encore une fois si les américains avaient dè» attendre la nationalisation des chemins de fer pour entreprendre la construction des voies ferrées les Lucky Lucke auraient encore de beaux jours devant eux!Je pense d’ailleurs que cette course Pacifique-Atlantique date de la 2de moitié du 19e siècle,pas de 1830.J’ai honte de ne plus bien me souvenir des cours de Caron(spécialiste de la question dont il fera une thèse)en 1966-67 è  Nanterre oè¹ il était assistant.

  6. De retour des tranchées, les audoniens ont du recevoir dans leur boè®te aux lettres l’invitation de JR et de la municipalité è  une réunion publique sur le projet des Docks, le jeudi 19 novembre de 19h è  22h, salle Barbara.

    Tout cela étant intitulé :
    “Les rendez vous des Docks – Mixité/densité/déplacements/environnement le nouveau visage de Saint-Ouen.”

  7. Ne sombrez pas dans l’illusion. La bourgeoisie franè§aise d’aujourd’hui, è  l’instar de celle des 18 et 19ème siècle, ne fera pas grand chose pour les franciliens, hormis peut-être quelques petites touches ici et lè  visant è  améliorer une situation déjè  désastreuse dans les transports et la circulation. Il faut bien calmer un peu le jeu ! Mais rien susceptible de résoudre les grands problèmes qui affectent la capitale ne sera entrepris. De sucroè®t, on va la vider de ce qui reste d’ouvriers, de techniciens et même de cadres, et les remplacer par des mastodontes de la finance qui veulent qu’on leur fasse place nette. Ils en veulent toujours plus. “Mon argent bien-aimé, entrez dans ma poche.” a écrit Molière quelque part.
    Monsieur Braouzec et d’autres élus de “gauche” pourront proposer et discourir sur des projets. Cela n’auta pas plus d’effet qu’un cautère sur une jambe de bois. L’affaire est entendue. Paris sera grand. Mais pour quelques uns seulement !

  8. Ne sombrez pas dans l’illusion. La bourgeoisie française d’aujourd’hui, à l’instar de celle des 18 et 19ème siècle, ne fera pas grand chose pour les franciliens, hormis peut-être quelques petites touches ici et là visant à améliorer une situation déjà désastreuse dans les transports et la circulation. Il faut bien calmer un peu le jeu ! Mais rien susceptible de résoudre les grands problèmes qui affectent la capitale ne sera entrepris. De sucroît, on va la vider de ce qui reste d’ouvriers, de techniciens et même de cadres, et les remplacer par des mastodontes de la finance qui veulent qu’on leur fasse place nette. Ils en veulent toujours plus. “Mon argent bien-aimé, entrez dans ma poche.” a écrit Molière quelque part.
    Monsieur Braouzec et d’autres élus de “gauche” pourront proposer et discourir sur des projets. Cela n’auta pas plus d’effet qu’un cautère sur une jambe de bois. L’affaire est entendue. Paris sera grand. Mais pour quelques uns seulement !

  9. A signaler l’interview du maire PCF de la ville de Saint-Ouen (dixit le journal) dans le Spécial collectivités locales de l’Humanité- Dimanche de de ce week-end sur deux pages intitulées : Saint-Ouen “tourner la ville vers la Seine”.

  10. Le Maire n’est plus membre du PCF michel .. je confirme et signe .. son compagnon non plus. Ils sont partis sous d’autres cieux et personne n’a rien è  redire, c’est leur droit le plus absolu. Quant au journaliste de l’humanité qui est l’auteur de le l’article en question, il n’est sans doute pas au courant de la polémique qui s’est engagée concernant l’ouverture de la ville vers la seine.”Qui n’entend qu’une cloche, n’entend qu’un son !” Il est bien évident que cette affaire fait problème. La maison des association idem.

  11. Le Maire n’est plus membre du PCF michel .. je confirme et signe .. son compagnon non plus. Ils sont partis sous d’autres cieux et personne n’a rien à redire, c’est leur droit le plus absolu. Quant au journaliste de l’humanité qui est l’auteur de le l’article en question, il n’est sans doute pas au courant de la polémique qui s’est engagée concernant l’ouverture de la ville vers la seine.”Qui n’entend qu’une cloche, n’entend qu’un son !” Il est bien évident que cette affaire fait problème. La maison des association idem.

  12. @ 12
    è§a m’a l’air aussi peu “nature” que le jardin du RER! C’est moche et prétentieux;ce” granit et graminées”, pas vraiment local et grande perspective è  la Hausmann. On dirait un rendu d’étudiant en seconde année d’urba qui a choisit les ingrédients dans un catalogue du BTP.
    Une nature domestiquée, disciplinée, dénaturée… merde! on est pas è  la campagne !Il faut que les mauvaises herbes se sentent ….insecure!!

  13. Est ce que ACQSO confirme les propos suivants sur le manque d’implication des habitants ?

    « Un projet bienvenu dans une commune qui pè¢tit dun déficit despaces verts, saluent volontiers Denise Bourdier et Bruno Vassal, responsables de lassociation Acqso (Association citoyenne pour la qualité de vie è  Saint-Ouen), qui regrettent néanmoins le manque dimplication des habitants dans le choix final.

    Il me semble que les habitants se sont impliqués en répondant au questionnaire lancé par des citoyens (750 réponses de mémoire) sur le projet de parc.

    Et le projet choisi répond t il, répondra t il è  leurs choix ?

  14. Serait-ce alors cela, le “jardin minéral” dont j’avais entendu parler une fois è  propos des Docks? A part è§a, dans le cadre d’échanges culturels avec nos voisins du XVIIe, je propose d’installer le mur de graffs au Parc Monceau.

  15. @JY Marsouin post14
    Les membres d’ACQSO cités dans cet article qui ont été interviewés lun après lautre par téléphone la veille de sa parution dans le journal « Le Parisien », c’est-è -dire avant même la diffusion du projet officiellement retenu, ont indiqué avoir regretté parmi dautres points non repris :
    * un manque d’implication des habitants DE LA PART DE LA MUNICIPALITE dans le choix final,
    En argumentant que malgré de nombreuses demandes faites lors des réunions du Pôle Citoyens des Docks, la municipalité (notamment Paul P.) a toujours refusé de vouloir inclure des citoyens audoniens parmi les membres du jury constitué pour juger du meilleur projet.
    Sans remettre en cause la déontologie de la journaliste, nous pouvons comprendre que cette omission regrettable puisse faire ombrage au sens véritable de nos propos.
    Dommage, nous aurions pourtant souhaité épargner une nouvelle zone dombre au projet des Docks.
    Il est effectivement important de souligner que la consultation citoyenne réalisait en nov 2007 è  linitiative seule, dune dizaine de citoyens membres du Pôle Citoyens (sans aide, ni soutien de la part de la municipalité) suffit déjè  è  démontrer le degré dimplication des Audoniens puisque sur les 2550 questionnaires diffusés, 657 dentre eux sétaient impliqués è  le remplir pour exprimer leurs attentes pour la création de ce nouveau Parc.
    http://acqso.typepad.fr/acqso/2007/12/docks-de-saint.html#more
    Quant è  savoir si le projet B retenu par le jury (adepte des délibérations démocratiques en Huis clos), correspond ou correspondra aux attentes des Audoniens ?
    ACQSO sassocie en tout point è  la déception et aux remarques émises par Morgane G. (élue è  lenvironnement) ci-dessous pour penser que « NON », alors quau moins deux autres projets sur le 5 proposés semblaient pourtant plus proches d y répondre.
    http://saint-ouen-socialiste.fr/actualite/parc-des-docks-un-projet-peu-ambitieux/#more-327
    Néanmoins, les Audoniens seront capables de le juger par eux-mêmes plus tard.

    En attendant, pour tous ceux qui souhaitent avoir plus de renseignements, jen profite pour indiquer que ACQSO sera présente è  la Fête du Quartier Debain qui aura lieu le 29 mai 2009 afin dorganiser un Jeu de la Vérité ouvert è  tous les habitants.
    Ce jeu qui repose sur les règles simples et supposés être connus de tous, è  savoir « La concertation » et la « La Démocratie participative», sera loccasion :
    ¢ de partager des infos, photos et plans des Docks remis lors des différentes réunion de Pôle Citoyens et obtenus è  loccasion de certains salons sur limmobilier réservés aux professionnels qui nont jamais été présentés è  loccasion des réunions publiques.
    ¢ de défendre et réaffirmer les propositions émises par les habitants lors des Dialogues de Saint-Ouen comme par exemple : laménagement dune structure daccueil de maison de quartier pour le soutien scolaire dans lancienne gendarmerie rue Dr Bauer et utilisation des 500M2 de jardins actuels pour la création dun espace vert en remplacement du projet de la création dun nouvel immeuble prévu récemment par la municipalité.
    http://acqso.typepad.fr/acqso/2010/05/debain-mobilisation-des-riverains-contre-un-projet-sans-perspective-de-bien%C3%AAtre.html

    ¢ démettre des propositions visant è  améliorer la qualité de vie de votre quartier.
    http://acqso.typepad.fr/acqso/2009/01/quartier-debainmichelet-premi%C3%A8res-r%C3%A9flexions-propositions-acqso.html
    De nombreuses surprises en perspective¦

  16. POUR A TOUS, AVEC ET SANS VOUS !!!

    Zac Des Docks > Enquête publique « Loi sur l’eau »

    Même si son information est restée encore plus distraite que les précédentes (un encart dans le journal municipal mais rien sur le site de la ville), sachez quand même qu’une nouvelle enquête publique en rapport avec le projet des Docks, car imposé par un décret ministériel relatif à la « Loi sur l’eau » se déroule actuellement sur la ville du 18 janvier 2011 jusqu’au mardi 8 février 2011.
    Cette troisième enquête publique dédiée au projet des Docks fait suite à celles déjà organisées, à savoir :
    • Juin-juillet 2009 : PLU (Plan Local d’Urbanisme que nous pourrions également nommer au constat des faits observés au CM du 25/01/2010 : Passeport Local d’Union)
    • Juin-Juillet 2010 : ZAC des Docks – Intérêts d’Utilité Publiques (adopté au CM du 13 décembre 2010)
    Certes, les objectifs de cette nouvelle enquête peuvent sembler quelque peu obscures, ce qui explique certainement qu’il n’y avait pas foule pour rencontrer le commissaire enquêteur au premier jour de son lancement (où même la vendeuse de moules du Festival de l’Oh semblait avoir oubliée d’y participer).

    Cependant certains documents mis à la disposition du public permettent néanmoins d’y apprendre des choses intéressantes et pour le moins surprenantes, comme par exemple :

    • La cartographie des zones inondables permettant d’identifier que certaines zones sont susceptibles d’être submergées par une hauteur d’eau supérieure à 2 mètres en cas de crue de la Seine,
    • Les bassins du parc souvent comparés par certains de nos élus à l’origine de ce projet vis à vis des Audoniens, comme étant un espace des plaisirs en plein air dans la nature avec des zones aquatiques favorisant la biodiversité de volatiles en migration, des plantes, insectes… imaginairement comparable à ceux des marais Poitevin ou des étangs de Sologne, ne sont qu’en fait pour reprendre la terminologie exacte des documents techniques consultables, des « décanteurs » ayant pour fonction principale de collecter les eaux usées de la voirie et autres trop polluées pour être déversées directement dans le fleuve de la Seine,
    • L’utilisation des sous-sols ou parkings des bâtiments des Docks sont prévus pour répondre en priorité au stockage partiel de l’eau en cas d’inondation,
    • La description des noues (sorte égouts d’évacuation des eaux fluviales à ciel ouvert bordant les allées) est parfaitement détaillée mais sans apporter aucune précision sur les conditions de leur entretien…
    • A noter, le peu d’informations dévoilées concernant les remontées gazeuses de la pollution de la nappe phréatique avec leur incidence sur la fréquentation du parc…

    Aussi, pour offrir l’occasion au plus grand nombre, d’avoir la possibilité de prendre connaissance de certains éléments de ces dossiers dédiés au projet des Docks, vous trouverez ci-dessous le lien ciblant sur l’album contenant quelques photos prises pêle-mêle lors de cette visite par l’une de membres d’ACQSO.

    https://picasaweb.google.com/contactacqso/EnquetePubliqueProjetDesDocks#

    Néanmoins, je vous encourage vivement à profiter de ce dernier jour pour venir compléter ces informations en interrogeant le commissaire enquêteur et pour y déposer vos remarques, car c’est la dernière fois que vous pourrez le faire…

    *** RAPPEL ****
    (Extrait d’un document consulté rappelant les objectifs plus précis de cette enquête).
    Objectif :
    • soutenir une réflexion et présenter les conclusions sur les modes d’assainissement à prévoir dans le cadre du projet d’aménagement pour :
    – compenser l’imperméabilisation des sols générée par l’urbanisation, par la mise en œuvre de dispositifs visant à ralentir le ruissellement ou retenir temporairement les eaux de pluie,
    – réduire la pollution du ruissellement des voiries et autres infrastructures de circulation ;
    – assurer la collecte et le transport des eaux usées vers les organes de dépollution.
    • respecter la procédure énoncée dans les décrets d’application liés à l’article 10 de la Loi sur l’eau du 3 janvier 1992 codifiée dans le Code de l’Environnement de l’article L214-1 à l’article L214-6……

    (Extrait du seul article paru dans le Journal Municipal informant de cette enquête publique)
    *** ZAC des Docks ***
    — Avis d’enquête publique (Saison 3…) —
    Par arrêté préfectoral du 16 décembre 2010, une enquête publique est ouverte afin d’autoriser la société ‘Sequano
    Amenagement’ à réaliser des travaux d’aménagement aquatique – sondage, forage, création de puits ou d’ouvrage souterrain, installation de remblais, création d’un plan d’eau … – de la ZAC des Docks.
    Le dossier ainsi qu’un registre d’enquête publique sont déposés, du mardi 18 janvier au mardi 8 février inclus, au centre administratif Fernand-Lefort (Caso), service droits des sols, aux heures d’ouverture habituels.
    Toute personne pourra déposer ses observations sur le registre d’enquête ou les adresser par écrit à Guy-Michel
    Cabrita, commissaire enquêteur, à la mairie de Saint-Ouen, 6 place de la République, 93400 Saint-Ouen.
    Par ailleurs, le commissaire enquêteur recevra le public au Caso, le mardi 18 janvier de 9 h à 12h et le mardi 8 février de 14h à 18h.
    A l’issue de cette enquête, le rapport et les conclusions du commissaire enquêteur seront tenus à la disposition du public à la préfecture de Seine-Saint-Denis à la sous préfecture de-Saint-Denis et à la mairie.
    *****

  17. vous pensez vraiment qu’ils arriveront à construire autre chose que ce qui est en cours?
    delanoé ne peut pas flinguer sa fin de carrière politique avec une telle casserole. hidalgo pareil.

  18. Si tout cela est vrai pourquoi ne pas procéder à l’envers et scpcp a raison et c’est une bonne idée ! pourquoi ne pas en parler aux groupes de l’opposition parisienne pour mettre delanoé en difficulté et donc le projet de st ouen sous cette forme ? je sais pas je dis ça comme ça ?

  19. il parait que le canard y travaille…
    savez-vous si le financement est bouclé? Paris commence à être sérieusement endetté, le grand Paris va syphonner les crédits etat/région pour 20 ans. SO n’a plus les moyens et en plus de tout ça, les logements doivent obligatoirement être construits en BBC qui coûte environ 20-30% plus cher.
    j’espère surtout que les normes actuelles sont suffisantes pour garantir un futur à tous les petits mômes de mandela et aux futurs masses laborieuses qui vont être empilées là…

  20. quand jr fete la commémoration de l esclavage (dixit son blog ) et non son abolition,
    ses amis archi-promoteurs font figurer dans l huma dimanche pour le dossier des docks, une vue d artiste sans noir, sans vieux, sans gros…

  21. J’ai dénoncé en son temps l’avalage par JR et consorts de la couleuvre parisienne (terrains de la ville de Paris à saint-ouen contre demandeurs de logement parisiens logés à saint-ouen) pour mener l’opération “Docks”.

    Sans parler de la dizaine de pavillons rasés boulevard victor hugo à SO.

    Jugez par vous même !

    “Pour la géographe Anne Clerval, la gentrification de la capitale s’est faite aux dépens des classes populaires. La municipalité Delanoë n’aurait pas stoppé le mouvement dans une ville où la mixité sociale ne serait qu’illusion.

    La politique de logement social menée par la gauche à Paris peut-elle arrêter la gentrification ?

    La gentrification est déjà trop avancée à Paris pour qu’il soit possible de l’arrêter et tout se joue dans les derniers quartiers populaires, à l’image de Château-rouge dans le XVIIIe arrondissement, ou de Belleville dans les XIXe-XXe arrondissements. L’action de l’équipe municipale de Bertrand Delanoë depuis 2001 a permis une relance de la création de logements sociaux.
    Néanmoins, il faut examiner de plus près cette politique pour en saisir les limites. D’une part, les logements sociaux créés remplacent des logements déjà existants (par démolition, réhabilitation ou rachat) et il faut le dire clairement : on crée moins de logements (certes de bien meilleure qualité) qu’on en détruit. D’autre part, tous les logements sociaux ne s’adressent pas aux classes populaires. Contrairement aux idées reçues, les ouvriers et les employés sont ceux qui quittent le plus Paris et non les professions intermédiaires, dont la part augmente depuis trente ans.

    Or on crée environ 30% de logements PLS (intermédiaires), destinés à des ménages dont les revenus excèdent les plafonds HLM, alors que seuls 5% des demandeurs en attente (ils sont près de 100 000) peuvent y prétendre. Enfin, si on fait une analyse géopolitique de la création de logements sociaux à Paris, on peut voir que le rapport de force local pénalise toujours les classes populaires : dans les beaux quartiers, la bourgeoisie résiste farouchement à la création de logements sociaux, comme en témoigne le blocage juridique du projet de la gare d’Auteuil, dans le XVIe arrondissement ; mais dans les derniers quartiers populaires, la mairie privilégie les PLS au nom de la mixité sociale, allant ainsi dans le sens de la gentrification. C’est pourtant dans ou à proximité de ces derniers quartiers populaires qu’il faudrait créer en priorité des logements sociaux.

    On ne peut pas se servir de la rhétorique de la mixité sociale au niveau du quartier pour masquer sa réduction constante à l’échelle de toute la ville.”

    Il fallait bien que cela rapporté. Mais on pourra toujours discuter Patrimoine…

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